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28 juin 2016 2 28 /06 /juin /2016 09:38

BUD SPENCER
Né à Naples, sous le nom de Carlo Pedersoli, il fut champion de natation, avant de délaisser le sport, de prendre quelques kilos (plusieurs, en fait…) et de changer de patronyme, pour devenir Bud Spencer.

Après quelques figurations, il s’associe avec le jeune premier Terence Hill (Mario Girotti) à partir de « DIEU PARDONNE… MOI PAS », pour former un tandem extrêmement populaire en Europe, et qui perdura plusieurs décennies, s’essayant à tous les genres.BUD SPENCER (1)

Colosse barbu de presque deux mètres, les yeux en fente, le jeu réduit à deux expressions environ (exaspération, gloutonnerie), Bud Spencer s’est rendu célèbre par sa capacité à donner des baffes mémorables, et des coups de poing sur le crâne dont il doit avoir le copyright.

Après « DIEU PARDONNE… », il retrouve le rôle de Hutch Bessy, le « sidekick » dans « LA COLLINE DES BOTTES » et « LES 4 DE L’AVE MARIA », avant de devenir une énorme star en Italie grâce au rôle de Bambino, le demi-frère bourru du héros de « ON L’APPELLE TRINITA » et sa sequel « ON CONTINUE À L’APPELER TRINITA ».

Bud joue un banquier SANS SA BARBE, dans « PAS DE PITIÉ POUR LES SALOPARDS », un des mercenaires lancés dans une mission dangereuse dans « 5 HOMMES ARMÉS », « 5 GÂCHETTES D’OR » et « UNE RAISON POUR VIVRE, UNE RAISON POUR MOURIR ».
 Il tente d’échapper au mariage dans « AMIGO… MON COLT A DEUX MOTS À TE DIRE ». Séparé de Terence Hill après un dernier western : « PETIT PAPA BASTON », Spencer tourne beaucoup pour la TV italienne, des séries capitalisant sur son physique, avec une subtilité exquise.

 

(article publié en 2009 et remis en actualité en hommage à Bud Spencer, décédé à l'âge de 86 ans)

BUD SPENCER (2)

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20 juillet 2014 7 20 /07 /juillet /2014 08:34

Avec son physique « All American », James Garner avait tous les atouts pour devenir un jeune premier traditionnel, mais son sens de l’humour et de l’autodérision l’ont rapidement poussé vers les rôles de couards sympathiques, de « planqués » et de jouisseurs. C'est exactement ce qu'il fit du personnage de « MAVERICK » dans la série du même nom, un rôle de joueur élégant, peu téméraire, mauvais tireur, toujours fourré dans de sales affaires. Bret Maverick lui colla tellement à la peau, que Garner le reprit dans des téléfilms, un revival intitulé « BRET MAVERICK » et même dans le film cinéma, où il était cette fois le père de Mel Gibson.

Ce n’est pas le seul western que tourna James Garner, loin de là : il apparaît dans quatre épisodes de « CHEYENNE », joue un sergent dans « LE VENGEUR », un pisteur cynique dans « LA BATAILLE DE LA VALLÉE DU DIABLE ». Il change de registre pour incarner un Wyatt Earp incroyablement dur et inhumain dans « 7 SECONDES EN ENFER », un rôle qu'il reprendra vingt ans plus tard, et de façon plus détendue dans « MEURTRE À HOLLYWOOD », où Earp est devenu conseiller technique sur des tournages de westerns. Il retrouve le sourire dans « NE TIREZ PAS SUR LE SHÉRIF », où Garner est extraordinairement attachant, en homme de loi paresseux et aussi peu héroïque que possible. Son tandem avec Jack Elam est une telle réussite, que la même équipe – le réalisateur Burt Kennedy compris – se reforme pour le moins emballant « TUEUR MALGRÉ LUI ».

James Garner s’égare en Italie pour « UN NOMMÉ SLEDGE », où il est un braqueur de banques morose, il est drôle en escroc dans « SKIN GAME », en déserteur dans « UN PETIT INDIEN ».

Après de nombreuses années consacrées à sa série polar « 200 DOLLARS PLUS LES FRAIS », Garner revient au western avec la minisérie « LONESOME DOVE – LE CRÉPUSCULE », où il succède à Tommy Lee Jones et Jon Voight, dans le rôle du capitaine McCall, devenu chasseur de primes.

Mais comme Leonard Nimoy, quoiqu’il fasse, restera à jamais Mr. Spock, James Garner sera toujours marqué par le rôle du désopilant Bret Maverick.

 

À NOTER : Cet article a été posté il y a excactement 5 ans, presque jour pour jour et remis en actualité en hommage au décès de James Garner à l'âge de 86 ans. RIP.

 

À NOTER : la série « MAVERICK » est restée inédite en France, mais on peut en voir un épisode, dont la guest star est Clint Eastwood, dans les suppléments du DVD et le Blu-Ray de « IMPITOYABLE ».

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 09:05

Beau garçon au physique typiquement italien, au charme simple, à la sympathie sans complication, Giuliano Gemma a débuté dans des petits rôles (« BEN-HUR », « LE GUÉPARD »), des péplums (« LES TITANS »), avant de percer dans le western italien, dans un emploi finalement assez rare de héros bon-teint, rasé de près et pétri de bonnes intentions.

Il revient de la guerre de Sécession dans « UN DOLLAR TROUÉ », infiltre un gang dans le rôle-titre de « UN PISTOLET POUR RINGO » (où il apparaît sous le pseudo Montgomery Wood !), il veut venger sa famille RETOUR RINGOmassacrée dans « LE RETOUR DE RINGO » (où pour compliquer encore les choses, son personnage s’appelle en réalité Montgomery Brown !), il est accusé à tort de meurtre dans « ADIÓS GRINGO », joue un ex-forçat se muant en vengeur dans « ARIZONA COLT », un lieutenant prisonnier de guerre dans « TROIS CAVALIERS POUR FORT YUMA », un évadé avide de revanche dans « LES LONGS JOURS DE LA VENGEANCE ».
Gemma trouve un de ses bons rôles dans « LE DERNIER JOUR DE LA COLÈRE », en homme à tout faire, méprisé de tous, auquel un vieux pistolero apprend à se battre. Son face à face avec Lee Van Cleef est impeccable.

Il joue un shérif poursuivi pour meurtre dans « WANTED – LA RECHERCHE »,  un hors-la-loi voulant se ranger des voitures dans « CIEL DE PLOMB », il est obligé de vivre avec son frère pendant trois mois, pour toucher 300.000 $ dans « LA CHEVAUCHÉE VERS L’OUEST », il est pris dans un complot pour tuer le président des U.S.A. dans « TEXAS », s’essaie à la franche comédie avec « MÉFIE-TOI BEN, CHARLIE VEUT TA PEAU », persiste en jouant un hors-la-loi dans « LE BLANC, LE JAUNE ET LE NOIR », retrouve l’emploi de ses débuts (l’ex-officier revenant de la guerre) dans « CALIFORNIA », et achève son long parcours dans l'Ouest italien, avec le rôle-titre de « TEX ET LE SEIGNEUR DES ABYSSES », où il endosse le costume du légendaire héros de BD transalpine, le Ranger Tex Willer.

 

Post initialement publié en septembre 2009, réactualisé en hommage à l'acteur décédé dans un accident de voiture à l'âge de 75 ans. RIP.

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11 avril 2013 4 11 /04 /avril /2013 05:35

BERGER (1)D’origines autrichiennes, William Berger – qui accuse une nette ressemblance avec le chanteur français Nino Ferrer – a tenu des petits rôles aux U.S.A., comme l’officier de la gestapo dans « L’EXPRESS DU COLONEL VON RYAN », mais c'est dans le ‘spaghettiBERGER western’ qu'il s’est imposé comme une figure intéressante dans divers rôles principaux ou secondaires.

Il tient les rôles-titres de « EL CISCO » et « LA GRANDE NOTTE DI RINGO », joue le flic ‘Siringo’ dans « LE DERNIER FACE À FACE », un mercenaire dans « 5 GÂCHETTES D’OR », il fait le coup de feu avec… son banjo dans « SABATA », incarne le héros de « SARTANA DANS LA VALLÉE DES VAUTOURS », le père des ‘bad guys’ de « KEOMA », ainsi que le ‘old timer’ dans « DJANGO 2 ».

Berger est très bien casté dans le rôle de ‘Kit Carson’, le sidekick du héros dans « TEX ET LE SEIGNEUR DES ABYSSES ».

Il a tenu des petits rôles dans des films ‘mainstream’ ou copros allemandes comme « HANNA K » ou « DOCTEUR M ».

BERGER2

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4 septembre 2010 6 04 /09 /septembre /2010 09:26

PAUL RICHARDS (1)Acteur de second plan des années 50 et 60, au physique massif, au visage grave et intelligent, souvent vu dans des rôles de Mexicains et la plupart du temps de « bad guys », Paul Richards a trouvé un de ses meilleurs rôles dans le western « LA FURIEUSEPAUL RICHARDS CHEVAUCHÉE » où il était le ‘Peso Kid’, un pistolero particulièrement névrosé et inquiétant de réalisme. Il y volait allègrement la vedette à Randolph Scott dans leurs quelques scènes communes.

Richards a beaucoup tourné pour la TV. Dans le domaine du western on l’a vu dans les séries « RINTINTIN », « LA FLÈCHE BRISÉE », « L'HOMME À LA CARABINE », « ZORRO », « ZANE GREY THEATER » ou « LE VIRGINIEN », dans plusieurs « BONANZA ». Il apparaît dans deux épisodes de la mythique série « THE WESTERNER » de Sam Peckinpah.

Il fut un soldat dans « LA LOI DU SCALP » et en dehors du Far West, on l’a vu en G.I. dans « BAÏONNETTE AU CANON », en gangster dans « L’AFFAIRE AL CAPONE », en mutant dans « LE SECRET DE LA PLANÈTE DES SINGES ».

À le revoir aujourd'hui, on se dit que le très oublié Paul Richards avait tous les attributs d’un premier rôle et qu'il est probablement passé à côté d’une belle carrière.

PAULRICHARDSsuite

 

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20 juin 2010 7 20 /06 /juin /2010 12:07

DENVER PYLE (1)Denver Pyle est un de ces visages anonymes, vus et revus dans des centaines de films depuis les années 50. Il s’est fait connaître sur le tard par le rôle de l’oncle Jesse dans la série ‘redneck’ « SHÉRIF, FAIS-MOI PEUR », mais il n’en était pas à son coup d’essai.

Stakhanoviste invétéré, il est apparu de nombreuses fois dans d’autres séries western, dansDENVER PYLE (2) des rôles différents : une quinzaine d’épisodes de « THE RANGE RIDER », sept « KIT CARSON » et « THE LONE RANGER », dix de « THE GENE AUTRY SHOW », sans compter de régulières ‘guests’ dans « L'HOMME À LA CARABINE » ou bien sûr « GUNSMOKE ». Il a incarné le général Houston dans quelques épisodes de « THE ADVENTURES OF JIM BOWIE ».

Au cinéma, on aperçoit Denver Pyle en cowboy dans « LE TUEUR DU MONTANA », en espion sudiste dans « L’HÉROÏQUE LIEUTENANT », en soldat dans « LA POURSUITE DURA SEPT JOURS », en prêtre dans « CHEVAUCHÉE AVEC LE DIABLE », en lyncheur dans « JOHNNY GUITARE », en victime des Modocs dans « L’AIGLE SOLITAIRE », en hors-la-loi dans « 10 DENVER PYLEHOMMES À ABATTRE », en shérif dans « JICOP LE PROSCRIT », en adjoint dans « LE GAUCHER », en déserteur borgne dans « LES CAVALIERS », en joueur dans « ALAMO », en politicien dans « L'HOMME QUI TUA LIBERTY VALANCE », en sénateur dans « GERONIMO ».

Il est pasteur dans « LES PRAIRIES DE L’HONNEUR », conduit la diligence dans « WELCOME TO HARD TIMES », joue un rancher dans « 5 CARTES À ABATTRE », un notable dans « BANDOLERO ! », l’agent des Indiens dans « BUFFALO BILL ET LES INDIENS ».

Et ceci n’est qu’une maigre sélection de ses activités !

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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 13:53

PEPPARD (1)Alors que s’annonce la sortie en salles de l’adaptation de la série TV « AGENCE TOUS RISQUES », et que partout on voit écrit que Liam Neeson a repris le rôle créé par George PEPPARDPeppard, le nom de celui-ci revient sur le devant de la scène, après des années de total oubli.

Connu pour ses films de guerre, son rôle de gigolo dans « DIAMANTS SUR CANAPÉ » et pour la série des seventies « BANACEK » où il jouait un ‘privé’, Peppard a toujours fait preuve d’une personnalité ambiguë, cynique et légèrement destroy, contrastant avec un physique de jeune premier WASP. C'est d'ailleurs un caractère réputé difficile qui aurait empêché Peppard d'atteindre un vedettariat plus durable.PEPPARD (2)

Il a tourné quelques westerns : il est le fils rustaud de Mitchum dans le quasi-western « CELUI PAR QUI LE SCANDALE ARRIVE », celui de Jimmy Stewart qui devient shérif dans « LA CONQUÊTE DE L’OUEST ». Il joue un ex-marshal dans « VIOLENCE À JERICHO », un mercenaire à Mexico dans « LES CANONS DE CORDOBA », un hors-la-loi spolié de son butin (et de sa femme) dans « LE DERNIER TRAIN POUR FRISCO », un commandant de cavalerie dans le téléfilm « THE BRAVOS ».

Aux côtés de Robert Vaughn, il participe au remake-clin d’œil SF des « 7 MERCENAIRES » : « LES MERCENAIRES DE L’ESPACE ».

Mais c'est vraiment – et c'est d’autant plus vrai aujourd'hui – pour le rôle de Hannibal Smith que George Peppard restera dans le cœur du public.

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17 mai 2010 1 17 /05 /mai /2010 13:43

PLEASENCEActeur anglais hyperactif, Donald Pleasence a touché à tous les genres avec une prédilection pour le fantastique et l'horreur. Professionnel international, il a goulument tourné tout et n'importe quoi, allant du chef-d’œuvre du cinéma commercial (son aveugle dans « LA PLEASENCE (2)GRANDE ÉVASION » est dans toutes les mémoires) au plus infâme nanar de série Z, du général nazi à Blofeld dans un 007, de Roman Polanski à John Carpenter.

Petit, chauve, l’œil pétillant de ruse et parfois de démence, Pleasence a trouvé quelques excellents rôles dans le western où sa présence volontiers tonitruante, n’était finalement pas si incongrue que cela.

Il jouait un « oracle » crasseux et ivrogne dans « SUR LA PISTE DE LA GRANDE CARAVANE », le terrifiant prêcheur Quint, chef d’une famille de dégénérés dans « WILL PENNY LE SOLITAIRE », le trafiquant d’armes affublé d’un horrible dentier dans « SOLDAT BLEU ».

Pleasence côtoie le tandem Hill-Spencer (mais pas à l’occasion d’un western) dans « ATTENTION, ON VA S’FÂCHER ! », incarne Sam Purchas dans plusieurs épisodes de la minisérie « COLORADO », campe l’acolyte du héros dans l’improbable sequel sudaméricaine « DJANGO 2 : IL GRANDE RITORNO » face à Franco Nero.

PLEASENCE (1)

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15 mai 2010 6 15 /05 /mai /2010 12:18

SELLECK (1)Pour la majorité des cinéphiles, Tom Selleck est connu pour deux raisons : il a joué dans la série TV « MAGNUM » pendant huit ans et il a failli tenir le rôle d’Indiana Jones, avant d’être remplacé par Harrison Ford. Un aléa dont sa carrière ne s’est jamais complètement remise.

Pourtant, cet acteur séduisant et nonchalant, dont la moustache fournie et l’ironie moqueuse ne sont pas sans évoquer le Burt Reynolds des grandes années, a beaucoup tourné et même apporté sa pierre à l’édifice du western.

Il débuta d'ailleurs en figurant dans un épisode du « RANCH L » !

À la TV, il joue un des trois frères, le plus politicien dans « THE SACKETTS », il part à la recherche de sa famille kidnappée dans « THE SHADOW RIDERS », au cinéma il excelle dans le rôle-titre de « M. QUIGLEY, L’AUSTRALIEN » où il s’exile en Australie et décide de prendre la défense des Aborigènes.

On le revoit en officier sudiste revenant du front dans « LAST STAND AT SABER RIVER », il trouve un de ses meilleurs rôles en pistolero dans « CROSSFIRE TRAIL » et reprend le rôle de « MONTE WALSH » le cowboy en bout de course qui avait été créé par Lee Marvin au cinéma.

SELLECK

Il continue de beaucoup tourner pour la télé, avec de temps en temps de bonnes surprises comme son rôle de gay dans « IN & OUT » ou celui d’Eisenhower dans « IKE : COUNTDOWN TO D-DAY ».

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14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 07:42

HARRY CAREYHarry Carey, Jr. comme son patronyme l’indique, est un « fils de ». Et pas le fils de n'importe qui : celui d’une des grandes stars de western du Muet, un acteur que John Ford lui-même considérait comme son maître à penser. D’une personnalité complètement différente à celle de son père, ‘Dobe’ Carey est apparu dans 150 films dont énormément de HARRY CAREY (1)westerns, tenant un emploi de jeune naïf souvent malchanceux puis progressivement de ‘old timer’ à la barbe blanche.

Chez Ford – qui le fit beaucoup travailler – Carey est surtout mémorable dans un des rôles principaux du « CONVOI DES BRAVES », dans « LA PRISONNIÈRE DU DÉSERT » où rendu fou par la mort de sa fiancée, il fonce droit à la mort aux mains des Indiens. Il fut aussi un des trois hors-la-loi recueillant un bébé dans « LE FILS DU DÉSERT », un soldat dans « RIO GRANDE » et « LES CHEYENNES ».

On l’aperçoit dans des rôles d’inégale importance dans « LA RIVIÈRE ROUGE » en cowboy, « ESCORTE POUR L’OREGON » en homme de troupe, dans une quinzaine d’épisodes de « HAVE GUN – WILL TRAVEL », deux « RAWHIDE », quatre « LARAMIE », cinq « LA GRANDE CARAVANE ». Il est caporal dans « ALVAREZ KELLY », contremaître dans « LE RANCH DE L’INJUSTICE », colon dans « LA ROUTE DE L’OUEST », bandit dans « BANDOLERO ! », prêtre dans « UNE POIGNÉE DE PLOMB ».

Il joue le père des deux héros dans le ‘spaghetti western’ « ON CONTINUE À L’APPELLER TRINITA » et reparaît aux côtés de Terence Hill dans « ET MAINTENANT ON L’APPELLE EL MAGNIFICO », il garde la prison dans « LES CORDES DE LA POTENCE », joue les piliers de saloon dans « RETOUR VERS LE FUTUR 3 », le beau-père du héros dans le téléfilm « LAST STAND AT SABER RIVER ».

Dans « TOMBSTONE », Harry Carey, Jr. tient le rôle du vieux shérif abattu en pleine rue par un pistolero ivre-mort.

HARRY CAREY (2)

À 90 ans, on le voit encore de temps en temps dans des interviews, souvent en hommage à John Ford.

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