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2 octobre 2009 5 02 /10 /octobre /2009 09:05

William Smith, qui débuta enfant dans des films comme « LE FILS DE FRANKENSTEIN », s’est peu à peu imposé par sa silhouette musculeuse, son visage impassible à la Jack Palance, et quelques rôles inoubliables, comme le boxeur à poings nus de « ÇA VA COGNER ! », et le flic qui harcèle Mickey Rourke dans « RUSTY JAMES ».

William Smith fut aussi un westerner assidu, essentiellement à la TV : il tourne deux épisodes de « LA GRANDE CARAVANE », apparaît en chef indien dans la série « THE LEGEND OF CUSTER ». Il se fait connaître grâce à son rôle de Texas Ranger dans la série « LAREDO », qu'il tient pendant deux saisons. Il reprend ce personnage dans quelques épisodes du « VIRGINIEN », joue un shérif-adjoint dans « THE GUNS OF WILL SONNETT », un hors-la-loi dans « THE OVER-THE-HILL GANG », il joue des Indiens ou des pionniers indifféremment dans la série « DANIEL BOONE », joue un capitaine dans un « KUNG FU ».

Au cinéma, on l’aperçoit en pistolero dans « UN RABBIN AU FAR WEST », en hors-la-loi débile mental dans « LE SHÉRIF NE PARDONNE PAS », il fait une figuration clin d’œil, en joueur de poker dans « MAVERICK » comme beaucoup de ses collègues, et n’a apparemment pas encore décidé de prendre sa retraite…

Son rôle le plus célèbre demeure celui de Falconetti, le marin borgne et psychopathe de la minisérie « LE RICHE ET LE PAUVRE », où William Smith était tellement odieux, qu'il faillit se faire lyncher, en allant faire ses courses, le lendemain de la diffusion du dernier épisode !

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1 octobre 2009 4 01 /10 /octobre /2009 17:49

Superbe acteur réaliste, au visage marqué, au regard chaleureux, évoquant Spencer Tracy, et qui débuta à la fin des années 40, James Whitmore a hanté les plateaux pendant cinq décennies, dans des seconds rôles plus ou moins proéminents, mais toujours pétris d’humour et d’humanité.

Il est un des sudistes évadés dans « LE CONVOI MAUDIT », il prête sa voix « off » à « LA CHARGE VICTORIEUSE » de John Huston, apparaît non-mentionné au générique de « AU-DELÀ DU MISSOURI », en trappeur, tient un rôle similaire dans « LA CHARGE DES TUNIQUES BLEUES », tient la vedette de quatre « ZANE GREY THEATER » à la TV, joue les officiers dans deux « RAWHIDE », campe un des compagnons du héros dans « CHUKA LE REDOUTABLE », un capitaine dans « L’OR DES PISTOLEROS ».

Whitmore est excellent en lanceur de couteaux dans « LES COLTS DES 7 MERCENAIRES », en fermier lancé à la poursuite d’un Apache dans « LES COLLINES DE LA TERREUR », il tourne plusieurs fois dans « GUNSMOKE » et « LE VIRGINIEN ».

On le voit encore chez Ingmar Bergman (« L’ŒUF DU SERPENT ») et plus récemment dans « LES ÉVADÉS », où il est bouleversant, avant qu'il ne disparaisse, à l’âge de 88 ans, toujours actif.

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1 octobre 2009 4 01 /10 /octobre /2009 10:10

Il restera à jamais le motard moustachu et stoned de « EASY RIDER », le film-culte d’une décennie, qu'il symbolisa parfaitement. Dennis Hopper réalisa également ce road movie, mais ne parvint jamais à le surpasser. En tant que comédien, il fut mémorable en psychopathe dans « BLUE VELVET », en reporter dans « APOCALYPSE NOW » ou dans le rôle de Tom Ripley dans « L’AMI AMÉRICAIN », et dans une filmo de 200 titres, il tourna quelques westerns.

Il apparaît dans trois épisodes de « CHEYENNE », incarne Billy the Kid dans un « SUGARFOOT », le plus jeune du clan Clanton dans « RÈGLEMENT DE COMPTES À OK-CORRAL », le fiston à problèmes de « LA FUREUR DES HOMMES » de Henry Hathaway, avec lequel Hopper s’entendit si mal, que cela faillit mettre fin à sa carrière.

On le revoit dans des épisodes de « ZANE GREY THEATER », de « L'HOMME À LA CARABINE », « BONANZA » ou « LA GRANDE CARAVANE », il rejoue les fils incontrôlables dans « LES 4 FILS DE KATIE ELDER » (où il retrouve… Hathaway !), il apparaît en fou furieux abattu par Ben Johnson dans une brève séquence de « PENDEZ-LES HAUT ET COURT », joue un hors-la-loi barbu descendu par John Wayne dans « 100 $ POUR UN SHÉRIF ». Hopper tient le rôle-titre de « KID BLUE », un braqueur de banques planqué sous une fausse identité, campe Doc Holliday dans la minisérie « LA CIBLE », qui sera son dernier western.


Il se spécialisera dans les personnages de terroristes hystériques, mais on peut avoir un faible pour sa belle prestation dans « TRUE ROMANCE », et son magnifique face à face avec Christopher Walken.

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1 octobre 2009 4 01 /10 /octobre /2009 07:03

JORDANsuiteRemarquable acteur de théâtre, au physique de jeune premier intellectuel, à l’ironie grinçante Richard Jordan est mort jeune – 55 ans – mais a laissé son empreinte dans des œuvres importantes comme « INTÉRIEURS » et « ADIEU MON SALAUD », où il était magistral en flic manipulateur.

Il tourné un nombre honorable de westerns, vu la brièveté de sa carrière, et là aussi chacune de ses apparitions fut marquante : on le remarque d’abord en tueur dans un épisode de « LA ROUTE DES RODÉOS », il apparaît deux fois dans « EMPIRE ».

Il compose un intéressant personnage de jeune voyou aux mauvaises fréquentations, mais au bon fond dans « L'HOMME DE LA LOI » où sa relation avec le marshal est un des centres d’intérêt du film. Il retrouve son partenaire Burt Lancaster, pour « VALDEZ » où Jordan campe cette fois un homme de main pleutre et odieux, tout à fait réjouissant. Dans « LES COLLINES DE LA TERREUR », il joue un des trois frères racistes à la poursuite de Charles Bronson, et finit le bas-ventre calciné par un feu de camp.

On le revoit en suspect dans un « HEC RAMSEY » en hors-la-loi traqué par John Wayne dans « UNE BIBLE ET UN FUSIL », en arriviste irlandais sans foi ni loi dans la minisérie « CAPITAINES ET ROIS », dont il tient brillamment la vedette.

Il achève sa carrière par deux westerns : il joue le shérif dans « POSSE – LA REVANCHE DE JESSIE LEE », et incarne un général dans la minisérie « GETTYSBURG ».

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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 11:18

Elisha Cook, Jr. a débuté en 1930, et compte plus de 200 titres à sa filmographie. Plus connu pour ses rôles de pleutres roulant des yeux effarés, dans quelques classiques du film noir, comme « LE FAUCON MALTAIS » ou « ULTIME RAZZIA », il a tourné quelques westerns, pratiquement toujours dans ce même emploi de « petit homme », de couard peu fiable, et promis à une mort certaine.

Il marque les esprits dans le rôle du petit fermier ivre, froidement abattu en pleine rue par Jack Palance dans « L'HOMME DES VALLÉES PERDUES », joue un profiteur repenti dans « LA TRAHISON DU CAPITAINE PORTER », il fait du trafic d’armes avec les Indiens dans « L’AIGLE SOLITAIRE », joue un méchant dans « LA RIVIÈRE DE NOS AMOURS », retrouve Palance dans « JICOP LE PROSCRIT », joue le barbier dans « LA CHEVAUCHÉE DES BANNIS », le caissier de la banque abattu dans « LA VENGEANCE AUX DEUX VISAGES », il apparaît dans deux épisodes de « LA GRANDE CARAVANE », trois « RAWHIDE », et cinq « GUNSMOKE », joue un des villageois de « WELCOME TO HARD TIMES », le vieux forçat qui parle de l’or à Jim Brown dans « EL CONDOR », le prospecteur tabassé par John Beck dans « PAT GARRETT & BILLY THE KID » (la version de 1988, uniquement), le vieil oncle dans « WINTERHAWK », l’employé de l’étable dans « TOM HORN ».

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27 septembre 2009 7 27 /09 /septembre /2009 11:27

« Je suis l’Indien préféré de John Ford », déclarait fièrement Heinrich Von Kleinbach. En effet, sous le pseudonyme de Henry Brandon, il a incarné Scar le traumatisant kidnappeur sur le sentier de la guerre, dans « LA PRISONNIÈRE DU DÉSERT », et un autre chef un peu moins intraitable dans « LES DEUX CAVALIERS ». Dans les deux films, son passe-temps favori, était d’enlever les femmes blanches. Mais Ford n’est pas le seul à l’avoir distribué en guerrier…

On l’aperçoit en membre de la famille rivale dans « LA FILLE DU BOIS MAUDIT », en shérif-adjoint ripou dans « UNDER TEXAS SKIES », en sorcier (déjà !) dans « VISAGE PÂLE », en cowboy dans « L’ENFANT DU DÉSERT », en méchant neveu du chef de convoi dans « WAGONS WEST », en patron d’un service de courrier dans « LE TRIOMPHE DE BUFFALO BILL », en chef Indien (encore !) dans « À L’ASSAUT DU FORT CLARK ».

Brandon fait une composition inoubliable dans « VERA CRUZ », en capitaine français nommé… Danette ! Avec sa coupe en brosse, son monocle, son air hautain, il évoque plutôt un officier du Reich.


Il retrouve sa panoplie d’Indien dans « COMANCHE », joue – enfin ! – un officier allemand dans « BANDIDO CABALLERO », tient le rôle de Jesse James dans « LE CARREFOUR DE LA VENGEANCE », redevient « native » pour un « HAVE GUN – WILL TRAVEL », et pour plusieurs épisodes de « LA GRANDE CARAVANE », ainsi que dans « GUNSMOKE » et « F TROOP », il apparaît en sorcier dans « GENTLE SAVAGE ».

Henry Brandon est probablement le « visage pâle » qui a le plus incarne de « peaux-rouges », dans l’Histoire du 7ème Art.

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27 septembre 2009 7 27 /09 /septembre /2009 10:23

Wes Studi, authentique Cherokee, vétéran du Vietnam, est un des rares acteurs « Native Americans » à avoir fait son trou à Hollywood, et à avoir décroché quelques rôles principaux dans des films à gros budget. Il faut dire qu’avec son physique exceptionnel, son long visage grêlé, son regard pénétrant, Studi crève littéralement l’écran, ce qui rend son utilisation dans de petits rôles dans intérêt (« HEAT ») encore plus irritante.

On l’aperçoit dans de petits rôles dans « THE TRIAL OF STANDING BEAR » à la TV, et « POWOW HIGHWAY », avant que sa pourtant brève apparition dans « DANSE AVEC LES LOUPS », ne le fasse vraiment remarquer. En guerrier Pawnee cruel et sauvage, il créait une silhouette frappante.

Il enchaîne avec le rôle de sa vie, Magua, le renégat Huron, vendu aux Français dans « LE DERNIER DES MOHICANS », où il parvient à glisser une étincelle d’humanité, dans un personnage de monstre ivre de vengeance. Sa dernière scène sur la falaise, fait définitivement entrer Wes Studi dans le panthéon des grands « méchants » du western.

Walter Hill l’utilise dans le rôle-titre de « GERONIMO », mais en centrant son film sur les « visages pâles », empêche Studi de s’épanouir totalement dans un rôle où il aurait dû faire des étincelles. Grosse déception...

On le revoit en porte-parole des tribus iroquois dans le téléfilm « LA CHAÎNE BRISÉE », il prête sa voix métallique au documentaire « 500 NATIONS », apparaît en pisteur dans la minisérie « STREETS OF LAREDO », incarne le sage chef Red Cloud dans le téléfilm « CRAZY HORSE », un nouveau méchant dans « FRÈRES DE SANG ».


Studi est parfaitement casté dans le rôle du lieutenant Joe Leaphorn, flic tribal créé par le romancier Tony Hillerman dans « SKINWALKERS » et « COYOTE WAITS », « A THIEF OF TIME », pour la télévision. Il apparaît fugitivement en chef dans l’excellente minisérie « INTO THE WEST » et dans « LE NOUVEAU MONDE », il tient le rôle étrange du passeur de morts au bord d’un trou d’eau dans « SERAPHIM FALLS », joue le guerrier Buffalo Hump dans la minisérie « COMANCHE MOON », tient le rôle principal de Cherokee Jack dans le téléfilm « THE HUNTER’S MOON ».

Il est annoncé dans les westerns à venir dans l’année : « THE HARD RIDE » et « THE LAST HORSEMAN ».

Pas si mal, pour un acteur « ethnique », œuvrant dans un genre considéré comme mort et enterré !

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25 septembre 2009 5 25 /09 /septembre /2009 18:35

Qui aurait cru, après le succès phénoménal de « DANSE AVEC LES LOUPS », qui consacra Kevin Costner en tant que réalisateur et comédien, que quelques années plus tard, il serait considéré comme un « has been », et se mettrait à enchaîner les échecs commerciaux et critiques ?

Acteur un peu fade, sorte de Steve McQueen « soft », Costner s’est rapidement imposé comme jeune premier, et connaît son premier vrai succès grâce au western « SILVERADO », où il campe une tête brûlée sympathique et bondissante. Le rôle d’Eliot Ness finit de l’installer au box-office, et Costner tourne l’œuvre de sa vie, « DANSE AVEC LES LOUPS », fresque débutant pendant la guerre de Sécession, pour se développer au sein d’une tribu indienne, à l’instar du « JUGEMENT DES FLÈCHES » de Samuel Fuller. Dans un personnage d’officier prenant fait et cause pour les « natives », Costner faisait certes preuve de narcissisme, mais l’ampleur et l’ambition de son film emportaient l’adhésion. Peu de temps après, il produisait un important documentaire, « 500 NATIONS », retraçant l’Histoire du peuple Indien d’Amérique.


Dans le rôle-titre de « WYATT EARP », film boursouflé à demi-résussi, Costner se montre morose et peu enthousiasmant, se laissant voler la vedette par un extraordinaire Dennis Quaid en Doc Holliday.

« POSTMAN » son nouveau film comme réalisateur, sorte de western post-apocalyptique, donne un coup d’arrêt mortel à son ascension, et marque pour Costner le début de la fin. Il s’enfonce progressivement dans l’oubli, jusqu'à ce qu’un autre western, le très beau « OPEN RANGE », qu'il réalise en 2003, vienne rappeler qu'il était capable de belles choses. Il y trouve également, dans un rôle d’ex-tueur rangé des voitures, un de ses meilleurs rôles, face à Robert Duvall.


Depuis, rien de bien formidable, mais l'homme n’a que 55 ans, et il n’est pas exclu qu’un nouveau western le ramène une fois encore sur le devant de la scène. C'est, de toute façon, son élément naturel.

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25 septembre 2009 5 25 /09 /septembre /2009 12:59

Canadien d’origine, Leslie Nielsen a débuté en 1950, et prêté son physique propre-sur-lui, ses airs de business man, à toutes sortes de personnages plutôt ternes et sans fantaisie. C'est d'ailleurs à cause (ou grâce à ?) de cette image, que les frères Zucker l’ont engagé pour leur pastiche de film-catastrophe « Y A-T-IL UN PILOTE DANS L’AVION ? », où Nielsen jouait le médecin à la mine sinistre, qui annonçait les mauvaises nouvelles. Le succès fut tel, que déjà quinquagénaire, Nielsen s’est vu subitement propulsé star comique, et confirmé avec le rôle du lieutenant Drebin dans la courte série « POLICE SQUAD », suivie des trois films « NAKED GUN ». Il n’a pas arrêté depuis, et s’est fait connaître de la presse, en donnant ses interviews avec un coussin péteur.

Leslie Nielsen est apparu dans quelques westerns, au fil des années : le colonel dans « LA VALLÉE DE LA POUDRE », il joue dans « RAWHIDE » et dans deux épisodes de « LA GRANDE CARAVANE », campe un commandant dans « LES MYSTÈRES DE L’OUEST », le général Custer en personne dans « LES FUSILS DE LA PLAINE », un shérif dans « BONANZA », le méchant dans « GUNFIGHT AT ABILENE ».
Il incarne le colonel Marion, héros de la guerre d’indépendance, dans la série Disney « THE SWAMP FOX », tente de s’approprier illégalement des terres dans un « CIMARRON », joue un militaire dans « LA GRANDE VALLÉE », et apparaît dans cinq épisodes du « VIRGINIEN » dans des rôles à chaque fois différents. Il reprend par contre quatre fois le rôle d’un vilain comploteur dans « KUNG FU », avant que « Y A-T-IL UN PILOTE DANS L’AVION ? » n’arrive, et ne change à jamais son parcours d’acteur.

Il est d'ailleurs quasiment impossible de le revoir dans ses anciens rôles, sans avoir envie de rire…

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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 09:32

Acteur de second plan, reconnaissable à sa calvitie naissante et son nez proéminent, Aldo Sambrell est apparu dans à peu près tous les westerns italiens tournés dans son Espagne natale, parfois dans des figurations, de temps en temps dans de vrais seconds rôles et la plupart du temps en Mexicain. Il peut également se glorifier d’être apparu dans tous les westerns de Sergio Leone sans exception.

Parmi ses très nombreux westerns européens, Sambrell est un homme de main dans « LES TROIS IMPLACABLES » et « DUEL AU TEXAS », le chef des bandits dans « LES HORS-LA-LOI DE CASA GRANDE » et « LE FILS D’UN HORS-LA-LOI », un sbire de Gian Maria Volonte dans « POUR UNE POIGNÉE DE DOLLARS » et « …ET POUR QUELQUES DOLLARS DE PLUS », un tueur dans « UN MERCENAIRE RESTE À TUER ».

Aldo Sambrell partage la vedette avec Burt Reynolds dans « NAVAJO JOE », dans un rôle de chef de bande tueur d’Indiens, particulièrement odieux.


Il est un officier mexicain rapidement abattu dans « EL CHUNCHO », un des hommes de Sentenza dans « LE BON, LA BRUTE, LE TRUAND », un hors-la-loi dans « LES CRUELS » et « LE DERNIER FACE À FACE », le lieutenant du Cheyenne dans « IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L’OUEST », de Telly Savalas dans « LES BRUTES DANS LA VILLE », un officier dans la séquence des fusillades de masse dans « IL ÉTAIT UNE FOIS… LA RÉVOLUTION » (une figuration muette), un soldat mexicain dans « UN COLT POUR TROIS SALOPARDS », le shérif dans « MÉFIE-TOI BEN, CHARLIE VEUT TA PEAU ».

À la mort du western italien, Sambrell s’est reconverti dans les films de guerre et d’aventures de série B et on le revoit en ’99, en employé de la diligence dans le téléfilm « LA CHEVAUCHÉE DES HÉROS », avec Kris Kristofferson.

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