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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 09:17

Superbe comédienne de théâtre et de cinéma, Kim Hunter fut la femme de ‘Bogie’ dans « BAS LES MASQUES ! », la Stella de Brando dans « UN TRAMWAY NOMMÉ DÉSIR » qu'elle joua avec une sensualité à fleur de peau.

Mais c'est le visage couvert d’un masque de latex qu'elle s’est rendue célèbre dans la saga de « LA PLANÈTE DES SINGES » en jouant Zira, la guenon généreuse. Drôle de parcours…

Aujourd'hui, elle aurait fêté ses 88 ans. Happy birthday, Kim…

HUNTER anniv

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 07:54

En 1966, soit cinq grosses années avant sa consécration grâce à « DÉLIVRANCE », le jeuneHAWK Burt Reynolds tourna une série policière intitulée « HAWK » (diffusée en France cinq ans plus tard sous le titre plus précis de « HAWK, L’OISEAU DE NUIT »).

Le lieutenant John Hawk est un flic d’origines iroquoises, travaillant pour le bureau du procureur de New York. Un rôle écrit spécialement pour Reynolds qui a réellement du sang « Native » dans les veines.

« HAWK » ne dura qu’une unique saison de 17 épisodes, mais a laissé de plutôt bons souvenirs. Paul Bogart en était le producteur et Nelson Riddle avait signé la BO.

Parmi les ‘guest stars’ accueillie par la série : Gene Hackman, John Marley, Diane Baker, Bradford Dillman, Philip Bosco, Linda Day George, Robert Duvall (décidément présent dans la plupart des séries des sixties !), Elizabeth Ashley, Tony Lo Bianco, Marianna Hill, Kim Hunter. On notera la présence de quelques débutants prometteurs : Richard Jordan, Sam Waterston, Martin Sheen, Scott Glenn, sans oublier le vétéran James Best, qui apparaîtra régulièrement aux côtés de Reynolds lors du vedettariat de celui-ci.

Burt Reynolds tourna une autre série assez similaire « DAN AUGUST », quatre ans plus tard, qui ne dura elle aussi qu’une saison mais compta 11 épisodes de plus.

« HAWK » est une série qu’on aimerait bien voir apparaître en intégrale DVD, un beau jour…

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11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 20:40

HOOPER (2)Un des films oubliés de la carrière de star de Burt Reynolds et c'est fort dommage. Car si ses sympathiques nanars motorisés comme « L’ÉQUIPÉE DU CANNONBALL » ou les HOOPER (1)« COURS APRÈS MOI, SHÉRIF ! » sont régulièrement réédités et rediffusés, « LA FUREUR DU DANGER » un tantinet plus ambitieux, a disparu corps et biens.HOOPER

Réalisé par quelqu'un qui connaît son sujet, le cascadeur Hal Needham, ce film décrit le quotidien des stuntmen hollywoodiens, têtes brûlées alcooliques, accros aux antidouleurs, capables de prendre tous les risques pour des records dérisoires qui les laissent à chaque fois physiquement plus amoindris.

« LA FUREUR DU DANGER »  (passons sur le titre français, guère engageant) suit les derniers jours de la carrière d'un cascadeur et sa rencontre avec HOOPER (3)la relève, un jeunot sobre comme un chameau, ambitieux et plus affûté techniquement qu'il ne le fut jamais. Le scénario n'est pas bien profond, préférant un ton de comédie gentiment farfelue et des gags centrés sur des chevaux flatulents. Needham assez piètre réalisateur, ne pousse pas son sujet jusqu'à en faire un « ÈVE » au royaume de la tôle froissée. Mais il passe tout de même un souffle d’authenticité, une nostalgie touchanteHOOPER (4) et Reynolds est extrêmement attachant : la scène où insomniaque, il se lève la nuit pour se regarder dans la glace, contempler son corps vieillissant et pincer ses poignées d'amour, est parfaite. Sally Field – alors fiancée à Burt et partenaire attitrée à la façon de Sondra Locke ou Jill Ireland – se contente de jouer les décorations et Brian Keith est très bien en « ancien » en bout de course. Jan-Michael Vincent dans le rôle du rival retrouve à peu près le même emploi que dans « LE FLINGUEUR » en plus sympathique.

Bien rythmé pour un film des années 70, joliment écrit, assez revanchard parfois (le portrait du réalisateur mégalo et odieux, est gratiné), « LA FUREUR DU DANGER » mérite vraiment d'être sorti des oubliettes.

 

À NOTER : la seule édition correcte du film, en 16/9 est l’Allemande, sortie sous le titre « UM KOPF UND KRAGEN » mais sans sous-titres.

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11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 13:33

LAURENTIIS RIPDe « LA STRADA » de Fellini aux sequels du « SILENCE DES AGNEAUX » en passant par « GUERRE ET PAIX » avec Henry Fonda, « BARABBAS », « BARBARELLA », plusieurs Bronson dans les seventies, « L’ARGENT DE LA VIEILLE », « SERPICO », « RAGTIME » ou « CONAN LE BARBARE », Dino de Laurentiis a produit pas loin de 170 films depuis sa production à Rome.

Mogul à l’ancienne, personnage haut-en-couleurs, il vient de mourir à l’âge de 91 ans. R.I.P.

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11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 08:58

MACHETE (1)Saviez-vous que Lee Van Cleef jouait dans « MACHETE » ?

Non, pas de panique… Il n’est pas revenu d’outre-tombe pour apparaître aux côtés deMACHETE Danny Trejo (quel duo cela aurait fait, néanmoins !), mais il a déjà existé un film portant le même titre.

Tourné à Porto Rico en 1958, le premier « MACHETE » est signé Kurt Neumann et a pour vedettes – enfin, comme têtes d’affiche, plutôt – Albert Dekker, Mari Blanchard, Ruth Cains, Carlos Rivas et un de nos deux Lee préférés dans le rôle de ‘Miguel’.

C'est l’histoire du triangle amoureux entre la jeune épouse d’un riche – et vieux – planteur et le fils adoptif de celui-ci. Van Cleef joue un cousin particulièrement déplaisant et maniant la machete.

Verrons-nous un jour ressurgir cette série B de 75 minutes filmée en noir & blanc ? Peu probable… Et c'est peut-être dommage, vu qu'elle est étonnamment notée 8 et des poussières sur 10, sur IMDB ! 

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11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 06:38

Second rôle new-yorkais au physique insensé, sorti tout droit de la famille Addams, Vincent Schiavelli est apparu dans à peu près tous les films de Milos Forman de « TAKING-OFF » à « MAN ON THE MOON ». Inquiétant et excentrique, caractérisé par son rire insensé, il a marqué les mémoires dans « GHOST » en fantôme du métro irascible.

Il est un moine hilare dans « UN RABBIN AU FAR-WEST », il joue de l’orgue dans « BATMAN, LE DÉFI », compose un tueur très flippant dans « DEMAIN NE MEURT JAMAIS ».

Aujourd'hui, il aurait fêté ses 62 ans. Happy birthday, Vincent.

SCHIAVELLI anniv

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 09:38

« WWW » a copieusement exploré la carrière de Charles Bronson, l’acteur-fétiche des visiteurs du blog. Aussi, histoire de varier les plaisirs, voici une exploration la plus complète possible, de son autre filmographie : celle des projets avortés, abandonnés, refusés, jamais aboutis. Autrement dit, la filmo-fantôme. Elle réserve quelques surprises…

 

  • 1955 : À la suite du succès de « L’AIGLE SOLITAIRE », l’acteur-réalisateur George Montgomery propose à Charles Bronson un autre rôle de chef Indien dans « RED BLIZZARD » qu’il tente à nouveau de tourner en… 1975 et repropose en vain à Bronson !

 

  • 1962 : Bronson doit jouer Gutierrez un des poursuivants de Kirk Douglas dans « SEULS SONT LES INDOMPTÉS », mais retenu en Allemagne pour « LA GRANDE ÉVASION », sera remplacé par George Kennedy.

 

 

  • 1966 : Richard Burton doit réaliser « IF I WERE KING » sur la vie de François Villon, avec Liz Taylor et propose un rôle important à Bronson.

 

  • 1967 : Le réalisateur italien Enzo G. Castellari, fan de notre acteur depuis « LES 7 MERCENAIRES », a l’idée de proposer à Bronson le rôle de Clayton dit « le banquier », dans son western « JE VAIS, JE TIRE ET JE REVIENS ». Mais son producteur déclara : « Avec une tête pareille, ce Bronson ne sera jamais vedette ». Et le rôle fut offert à l’acteur de TV Edd Byrnes. C'est beau, le flair…

 

  • 1968 : Annonce d’un projet où Bronson tiendrait le 3ème rôle, aux côtés du couple Paul Newman-Joanne Woodward.
  • Après « ADIEU L’AMI », Bronson devait enchaîner avec le rôle-titre de « MICHEL STROGOFF », copro franco-italo-allemande de Robert Dorfmann, réalisée par Georges Lautner, avec Werner Peters.

 

  • 1969 : Bronson et Jill Ireland écrivent « 1, 98 $ » (ou « $ 98 ») sur la vie dans les mines de Pennsylvanie. Le film est annoncé par le producteur Lord Lew Grade jusqu'en ‘78 avec Bronson comme réalisateur et Jill en vedette aux côtés du footballeur (également ex-mineur de fond) Joe Namath.

 

  • 1970 : Charles Bronson doit retrouver Lee Marvin, pour un projet français sans titre, que doit réaliser Jean-Claude Dague, auteur immortel de « FAUT PAS POUSSER GRAND-PÈRE DANS LES CACTUS », avec Francis Blanche. On l’a échappé belle !

 

  • 1971 : Dino de Laurentiis envisage de produire « LE PARRAIN » avec Bronson en Vito Corleone, mais laisse finalement l’affaire à la Paramount.
  • William Friedkin songe un moment à Bronson, son voisin à Beverly Hills, pour tenir le rôle de ‘Popeye’ Doyle dans son « FRENCH CONNECTION ».

 

  • 1973 : Terence Young tente de monter « EMPIRE » réunissant pour la 3ème fois Bronson et Alain Delon, respectivement dans les rôles de Juárez et de l’empereur Maximilien.
  • Marlène Jobert essaie de reformer son couple avec Bronson dans  « FOLLE À TUER », à nouveau écrit par Sébastien Japrisot et que doit réaliser Jean-Pierre Mocky. C'est finalement Tomás Milian qui tiendra ce rôle de tueur et Yves Boisset qui mettra en scène.
  • La Fox propose à Bronson le scénario du thriller « THE INSURANCE COMPANY » que doit réaliser Sam Peckinpah. « Je refuse de travailler avec un ivrogne » déclare Bronson, faisant capoter le projet.

  BRONSON filmo bis

  • 1975 : Michael Winner a deux projets avec Bronson : « LE FRIGO / THE COOLER » film d’espionnage d’après le roman de John Markstein et « LE DERNIER DES MOHICANS » écrit par Dalton Trumbo, où l’acteur devait jouer Chingachgook.

 

  • 1975 et ‘77 : Bronson refuse « LA CHEVAUCHÉE SAUVAGE » de Richard Brooks et « UN PONT TROP LOIN » de Richard Attenborough (son partenaire de « LA GRANDE ÉVASION »). Gene Hackman le remplace les deux fois.

 

  • 1978 : Bronson est un des noms absurdes avancés pour jouer « SUPERMAN ». Le bruit court qu'il passa même des essais avec son ami Richard Donner…
  • À cause de problèmes oculaires (explication officielle), Bronson renonce à tourner « L’ARME AU POING » de Michael Winner (qu’il a pourtant promotionné à Cannes en compagnie de Sophia Loren) et se fait remplacer par James Coburn.

 

  • 1980 : On annonce « DEATH SENTENCE » sequel à « DEATH WISH » où Bronson aurait pour partenaire Natalie Wood.
  • C’est Bronson qui devait incarner « le Basque », dans le (très mauvais) film de J. Lee-Thompson « PASSEUR D’HOMMES » aux côtés de James Mason. Il est remplacé par Anthony Quinn, autre fréquent collaborateur du réalisateur.
  • Poussé par ses producteurs, John Carpenter pense un moment à Bronson pour incarner Snake Plissken dans « NEW YORK 1997 », mais l’acteur est définitivement trop âgé et C'est Kurt Russell (son partenaire enfant des « VOYAGES DE JAMIE McPHEETERS » !) qui emporte finalement le morceau.

 

  • 1982 : « 10 TO MIDNIGHT » est annoncé avec un sujet très différent de ce qu’il est devenu : Bronson doit y jouer un industriel nommé Holland (nom de son personnage dans « THE EVIL THAT MEN DO ») qui retrouve les terroristes qui tuèrent sa femme dix ans auparavant.

 

  • 1984 : Bronson lors de sa visite pour les Césars est associé à deux projets en rapport avec la France : « THE MUSTANG DIES ALONE » que doit réaliser Alain Delon et « RIDER ON THE RAIN » remake U.S. du « PASSAGER DE LA PLUIE » où Ireland reprendrait le rôle de Marlène Jobert qui lui était manifestement resté en travers de la gorge depuis 15 ans.

 

  • 1986 : Bronson annoncé à grand renfort de publicité pour « THE DELTA FORCE » de Joseph Zito laisse la place à Lee Marvin dans un rôle de commando.
  • À peu près à la même époque, Oliver Stone (alors scénariste en vogue) écrit spécialement pour Bronson « ON ANY GIVEN SUNDAY / L’ENFER DU DIMANCHE » où l’acteur doit jouer le coach d’une équipe de football. L’agent de Bronson ne lui transmet pas le script et le film se tournera quinze ans plus tard, mais avec Al Pacino.
  • Oliver Stone, décidément très fan, tentera à nouveau sa chance avec « THE UNGODLY » western situé pendant la Guerre de Sécession, sans plus de succès.

  DELTA F

  • 1988 : Cannon tente de caser trois de ses poulains en perte de vitesse : Bronson, Michael Dudikoff et Chuck Norris dans « THE THREE DEADLIES ». Annoncé à Cannes, le film ne se tournera jamais.
  • Bronson doit jouer le patriarche mormon Adam Swapp accusé de poser des bombes dans « RAGE AND RAMPAGE ». Le sujet sera complètement remanié pour devenir « MESSENGER OF DEATH ».

 

  • 1989 : Envisagé comme une sorte de remake du « BAGARREUR »,  « WRONG BET » devait avoir Bronson comme manager de Jean-Claude Van Damme, fan de longue date de notre acteur. On l’a échappé belle !
  • Cannon annonce « THE GOLEM », polar où Bronson doit jouer Dave Kagan, flic enquêtant sur des meurtres commis dans le Bronx par un monstre issu des légendes juives.
  • Les productions Cannon développent « THE ROOKIE », où Bronson doit jouer le flic Nick Pulovski spécialisé dans le trafic de voitures volées. Le projet sera repris par Clint Eastwood qui réalisera également le film, sorti en France en 1990 sous le titre « LA RELÈVE ».
  • On parle de Bronson pour le rôle du shérif malchanceux de « MISERY », qui sera tenu par Richard Farnsworth. « On cherchait un acteur connu et aimé de tous », expliquait le producteur.

 

  • 1992 : Bronson plein de bonnes résolutions après « INDIAN RUNNER », doit jouer un grand avocat surnommé ‘Duke’, postulant pour le poste de Procureur Général de l’Alaska, et qui défend son fils accusé de viol dans « NO RETURN ».
  • Lors de son séjour la même année au festival de Cognac, dont il est l’invité d’honneur, Bronson (qui retrouve là-bas Terence Young, Sébastien Japrisot), annonce pas moins de quatre projets en développement sans préciser lesquels.
  • 21st Century la nouvelle société de Menahem Golan, annonce « DEATH WISH V : THE VIGILANTE IS BACK ! » dans lequel Bronson aurait pour partenaire la canadienne Carole Laure.
  • Bronson annonce le tournage de « BREAKWATER », produit par Alliance Communication, où il doit incarner un ex-commandant de la Navy.

 

  • 1993 : on parle de « PLAY THE HEAVY » réalisé par Larry Cohen, que Bronson dans une interview, définit comme « Une fable ». Le sujet semblait proche de celui de « LAST ACTION HERO » ou de « SIDEKICK ». Le film fut abandonné à quelques semaines du tournage.

 

  • 1998 : George Lucas propose à Bronson un rôle de vieux Jedi dans « STAR WARS : LA MENACE FANTÔME » !

 

 

  • À la télévision, Bronson a failli tourner dans trois séries à succès : « COLORADO » où il doit jouer le trappeur Pasquinel, « TÊTES BRÛLÉES » où le rôle du vétéran Greg  « Papy » Boyington est écrit pour lui (il est remplacé les deux fois par Robert Conrad) et « LONESOME DOVE » où il cède la place à Tommy Lee Jones à cause d’un tournage trop rude.
  • En 1989, Bronson annonce qu’il va réaliser lui-même « MOVING ON » d’après le livre de sa femme. Le projet sera tourné sans lui, sous le titre « REASON FOR LIVING : THE JILL IRELAND STORY ».

 

  • Au théâtre, Bronson caresse le projet de créer « THE RED DEVIL BATTERY SIGN » en 1975, réclamé par son auteur : Tennessee Williams. Le rôle qu’on lui proposait était celui de ‘King Del Rey’, un ancien mariachi, tombant amoureux d’une paranoïaque enfermée dans un motel. Réputée pour être la plus mauvaise pièce de Williams, c'est Anthony Quinn qui tiendra le rôle.
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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 08:53

L’anniversaire aujourd'hui de Richard Bradford nous remet en mémoire la série TV anglaiseMAN SUITCASE qu'il tourna entre 1967 et ’68 : « L'HOMME À LA VALISE ».

L’acteur américain y joue McGill, familièrement appelé « Mac », un ex-agent de la CIA viré pour une indélicatesse qu'il n’a pas commise. Installé à Londres, il va accepter des jobs de ‘privé’, tout en enquêtant pour laver son nom. Un drôle de concept pour 30 épisodes de 52 minutes, qui furent diffusés en France où ils connurent un certain succès.

La série accueillit quelques ‘guest stars’ anglaises bien connues : Colin Blakely, le jeune Donald Sutherland (deux fois), Yoko Tani, Stuart Damon, Judy Geeson, l’inévitable Peter Vaughan, Bernard ‘M’ Lee, Darren Nesbitt, Ray McAnally et Edward ‘Chacal’ Fox.

Parmi les réalisateurs, on compte le directeur-photo Freddie Francis et les vétérans Peter Duffell et Charles Crichton (« UN POISSON NOMMÉ WANDA »).

L’intégrale de la série est sortie en Angleterre en 2008, à réserver aux téléspectateurs nostalgiques et bilingues, puisque le DVD est totalement dénué de sous-titres.

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 06:31

Avec son visage dur, son jeu totalement dénué d’humour, Richard Bradford a cartonné dans son premier rôle, celui du lyncheur du samedi soir dans « LA POURSUITE IMPITOYABLE ». Il a ensuite failli devenir une star de la télé avec la série anglaise « L'HOMME À LA VALISE », puis n’a tenu étonnamment que des seconds rôles.

On l’aperçoit dans « MISSOURI BREAKS », en shérif dans « EN ROUTE VERS LE SUD ! », il apparaît épaissi et blanchi en capitaine ripou dans « LES INCORRUPTIBLES » et devient à partir de ce film le partenaire attitré d’Andy Garcia : déjà neuf films ensemble !

Aujourd'hui, il fête ses 73 ans. Happy birthday, Richard.

BRADFORD anniv

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 19:09

Notre petit panorama des quelques (rares) images impressionnées sur pellicule sur lesquelles Charles Bronson sourit, ne serait pas complet si on omettait de mentionner le dernier.

L’ultime sourire de l’acteur sur un écran de cinéma est certainement le plus mémorable et le plus bouleversant : c'est celui d’un vieil homme qui vient de perdre sa femme et qui, seul dans sa cave, se projette des vieux films 8MM où s’amusent ses deux fils. Deux enfants innocents et joyeux qui aujourd'hui sont devenus des étrangers, losers ou hors-la-loi.

Une des scènes les plus poignantes du très beau « INDIAN RUNNER », le premier long-métrage réalisé par Sean Penn et sur lequel il faudra revenir plus longuement.

BRONSON Smile 2

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