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11 décembre 2010 6 11 /12 /décembre /2010 15:54

COMMANDOS (2)« COMMANDOS » est un film de guerre Italien, où l’on cite Goethe et dont la musique de Mario Nascimbene reprend la Symphonie Fantastique de Berlioz. Sans oublier qu’un des COMMANDOSauteurs n’est autre que Dario Argento, même si son nom apparaît en dernière position et en plus petits caractères que les trois autres scénaristes, au générique.

Réminiscent du génial « ATTAQUE ! » d’Aldrich et annonçant l’excellent « CROIX DE FER » de Peckinpah, par l’affrontement entre le sous-officier dur à cuire et le gradé incompétent, « COMMANDOS » est un film étonnammentCOMMANDOS (1) bien réalisé, qui tente dans le lieu unique d’une oasis, de démontrer que tous les soldats se valent et qu'il ne suffit de presque rien pour qu'ils fraternisent et oublient leurs différends. Seuls quelques fanatiques sont là pour raviver la haine.

Malgré sa première place au générique, Lee Van Cleef n’a pas réellement le rôle principal. Il n’est qu’un des protagonistes, un sergent quelque peu crispé, souffrant de CSR (Combat Stress Reaction) et qui s’avère être une véritable bombe à retardement. Le dialogue lui fait dire qu'il est d’origines libanaises (alors qu'il se nomme ‘Sullivan’ !) ce qui ne fait qu’accentuer la confusion : en effet le commando U.S. est composé d’italo-américains se faisant passer pour des Italiens d’Italie, afin de s’emparer de l’oasis et de gruger leurs « alliés » allemands ! Mais bon… L'homme a du métier et parvient à typer son rôle par quelques plissements de paupières et crispations de maxillaires savamment distillés.

Le film n’est pas exempt de défauts : les seconds rôles, qu'il s’agisse de Jack Kelly ou Götz George, manquent cruellement d’épaisseur et on a parfois du mal à les différencier, le personnage de la prostituée campé par Marilù Tolo n’a strictement rien à COMMANDOS (3)faire dans cette histoire et, comme souvent dans ce genre de produit, les séquences de batailles durent infiniment trop longtemps.

Mais au bout du compte, « COMMANDOS » est une heureuse surprise, dans la lignée de « ENFANTS DE SALAUDS » et « QUAND LES AIGLES ATTAQUENT » et n’a pas trop à rougir de la comparaison avec les productions américaines du même genre.

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11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 08:58

MACHETE (1)Saviez-vous que Lee Van Cleef jouait dans « MACHETE » ?

Non, pas de panique… Il n’est pas revenu d’outre-tombe pour apparaître aux côtés deMACHETE Danny Trejo (quel duo cela aurait fait, néanmoins !), mais il a déjà existé un film portant le même titre.

Tourné à Porto Rico en 1958, le premier « MACHETE » est signé Kurt Neumann et a pour vedettes – enfin, comme têtes d’affiche, plutôt – Albert Dekker, Mari Blanchard, Ruth Cains, Carlos Rivas et un de nos deux Lee préférés dans le rôle de ‘Miguel’.

C'est l’histoire du triangle amoureux entre la jeune épouse d’un riche – et vieux – planteur et le fils adoptif de celui-ci. Van Cleef joue un cousin particulièrement déplaisant et maniant la machete.

Verrons-nous un jour ressurgir cette série B de 75 minutes filmée en noir & blanc ? Peu probable… Et c'est peut-être dommage, vu qu'elle est étonnamment notée 8 et des poussières sur 10, sur IMDB ! 

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15 octobre 2010 5 15 /10 /octobre /2010 18:58

Très joli générique pour « THE BLOOD LINE », un épisode de la série « BONANZA », tourné en 1960. Il est réalisé par Lewis Allen l'homme qui fit débuter Burt Lancaster dans « LA FURIE DU DÉSERT » et le rôle principal est tenu par Jan Sterling, inoubliable en épouse sans cœur dans « LE GOUFFRE AUX CHIMÈRES ».

Lorne Greene est obligé d’abattre un ivrogne querelleur. Mais son fils adolescent débarque en ville et jure de le venger, épaulé par une entraîneuse, maîtresse de son père. Par sa patience, Greene saura faire changer d’avis le rancunier teenager.

BONANZA van cleef

Dans le cadre bien balisé de la série, l’épisode tient par le jeu intense et émouvant de Jan Sterling, crédible en fille de saloon mûrissante, refusant d’abord d’admettre qu'elle aimait passionnément un vaurien. Et il vaut bien sûr le coup d’œil pour la présence de Lee Van Cleef.

Tout vêtu de noir – détail qui deviendra sa marque de fabrique pendant son vedettariat italien – l’acteur campe un tueur à gages, un « flingueur à deux balles » comme l’appellent deux des protagonistes. Un profiteur cynique, qui tente de se faire payer pour descendre Lorne Greene. Devinez quoi ? Il échouera ! Certes pas le rôle de sa vie, mais c'est toujours un ineffable plaisir de le voir grimacer en prenant une balle dans le ventre, même si on l’a déjà vu faire exactement la même chose dans des dizaines de westerns.

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5 octobre 2010 2 05 /10 /octobre /2010 18:22

PITIE SALOPARDS (1)Doté d'une assez mauvaise réputation chez les aficionados du ‘spaghetti western’, « PAS PITIE SALOPARDSDE PITIÉ POUR LES SALOPARDS » s’avère être une relativement bonne surprise.

D'abord, le scénario est malin, étonnamment travaillé et surtout basé sur des rapports humains évolutifs, plutôt que sur un sempiternel schéma de vendetta ou de primes à chasser. Ensuite, Lee Van Cleef dans sa grande époque, est très inhabituel dans un rôle de crapule sympathiquePITIE SALOPARDS (2) analphabète, limite clochardisée, tentée par la respectabilité. Un emploi fort éloigné de ses rôles de « mâle dominant » chez Leone ou dans « SABATA ». Un des plaisirs du film est de le voir se métamorphoser physiquement à mesure qu'il évolue moralement. Un peu comme si Tuco se transformait en Blondin !

Les séquences d'action comme la poursuite en diligence ou la fusillade finale, sont fort bien PITIE SALOPARDS (3)réglées pour une série B de cet acabit et certaines idées visuelles tiennent encore parfaitement la route, comme le look cadavérique, limite vampiresque du bandit Gordon Mitchell, sorte de croque-mitaine à cape noire d’une méchanceté absolue. Parmi les comparses, on reconnaît Lionel Stander en acolyte de Van Cleef qui ne s’est pas rendu compte que son vieil ami n’est plus le même homme. À noter son agonie qui est la plus grotesque de l’Histoire des agonies au cinéma. Cerise sur le gâteau : Bud Spencer sans sa barbe (ce qui constitue un véritable choc culturel) joue le boss de la mine.

Le cœur de « PAS DE PITIÉ POUR LES SALOPARDS » (passons sur le titre français !) est l'amitié entre Van Cleef et le jeune ingénieur Antonio Sabato, décrite avec réalisme et chaleur, sans cliché. Et cela rapproche le film de classiques U.S. comme « DU SANG DANS LE DÉSERT ». Où d'ailleurs, Van Cleef tenait un petit rôle. Tout se recoupe…

PITIE SALOPARDS (4)

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27 septembre 2010 1 27 /09 /septembre /2010 13:29

Visible sur YouTube (par ce lien) divisé en 5 parties, l’épisode « MY FATHER, MY SON »VAN CLEEF ELAM gunsmoke de la série « GUNSMOKE », tourné en 1966 par Robert Totten.

Le film raconte la fin d’un ‘gunfighter’ célèbre (Jack Elam) qui s'arrête dans la ville du marshal Dillon (James Arness) et descend un jeune crétin (Zalman King) qui le provoquait en duel. Plus tard, il croisera la route d’un autre idiot, mais qui s’avèrera être son propre fils.

Ce n’est qu’un épisode parmi d’autres, mais il est édifiant pour une raison bien particulière : Lee Van Cleef apparaît dans le rôle du père de la victime, bien décidé à le venger. Ce qui est très étonnant, c'est qu'il s’agit là d’un petit rôle sans intérêt, alors que l’acteur venait de triompher en Europe avec « …ET POUR QUELQUES DOLLARS DE PLUS » et qu'il tournait la même année « LE BON, LA BRUTE, LE TRUAND ». Les deux films ne sortiraient pas aux States avant l’année suivante.

Alors qu'il sert de faire-valoir à Jack Elam, ce film est la preuve de l’imperméabilité totale entre les deux continents. Star d’un côté, illustre inconnu de l’autre.

En fin de compte, Lee Van Cleef a probablement eu raison de faire carrière en Italie… Son avenir aux U.S.A., Sergio Leone ou pas, semblait tout tracé : méchant à la télé, jusqu'à ce que mort s’ensuive.

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17 septembre 2010 5 17 /09 /septembre /2010 17:05

POSSE (1)Doté d’une réputation plutôt moyenne (dans une interview, Lee Van Cleef était allé jusqu'à déclarer que c'était le plus mauvais western qu'il avait tourné !), « LES CAVALIERS DE L’ENFER » apparaît comme une excellente surprise.

POSSESur un scénario très basique, évoquant parfois « LES BRAVADOS », le film conte la traque d’un quatuor de hors-la-loi poursuivis par un ‘deputy sherif’ caractériel (Audie Murphy) et quelques honnêtes citoyens peu armés pour l’aventure. CePOSSE (4) qui surprend très rapidement dans ce western, c'est la franchise avec laquelle sont abordées certaines situations : les preneurs d’otages sont des brutes sanguinaires qui tuent à la chevrotine sans la moindre hésitation, la jeune femme enlevée est violée par les bandits. Le viol n’est pas rare dans le western, même dans les sixties, mais généralement la victime n’y survit pas. Là, elle s’en sort et POSSE (2)parle même crûment de son traumatisme. On retrouve ce souci de vérité dans les petits détails : le jeune banquier (John Saxon) qui n’est jamais monté à cheval est handicapé par de cruelles ampoules aux fesses, quant à l’ex-colonel à moitié gâteux (excellent Robert Keith), il est prêt à tirer sur tout ce qui bouge, tant qu'il retrouve l’ivresse du champ de bataille. On n’est vraiment pas dans le cliché !

Tout fonctionne très bien dans « LES CAVALIERS DE L’ENFER », surtout la camaraderie unissant progressivement trois hommes totalement différents comme le pistolero ombrageux, le pied-tendre pince-sans-rire et l’Indien taiseux (Rodolfo Acosta dans un de ses rarissimes rôles sympathiques). À peine peut-on regretter l’épilogue beaucoup trop long et bêtement sentimental, qui vient un peu gâcher le plaisir.

Comme souvent dans ses films, c'est la star Audie Murphy qui est ce qu'il y a de plus faible dans le casting. Boudeur et inexpressif, il ressemble au Ricky Nelson de « RIO BRAVO » qui tenterait de tenir le rôle de John Wayne. Saxon est par contre très bien, maniant l’autodérision en expert. Zohra Lampert et Vic Morrow apportent leur style un peu décalé, venu de l’Actors Studio, sans que cela ne jure avec le reste. Et en bonus : Van Cleef qui ne fait que passer, hormis une bonne séquence d’agonie au soleil du désert et Royal Dano en ivrogne.

Ce n’est pas un grand western, mais un produit de série efficace et discrètement novateur par certains aspects, soutenu par une belle photo et de grandioses extérieurs. Un régal, donc…

POSSE (3)

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28 juillet 2010 3 28 /07 /juillet /2010 13:43

KATANALa série « L'HOMME AU KATANA » (1984) ne dura qu’une petite saison de 13 épisodes. Et peu de fans de télé s’en souviennent. Le héros était un vieux maître Ninja exilé au Japon depuis la WW2, qui revenait aux U.S.A. à la recherche de sa fille. Il faisait la connaissance d’un jeune vagabond qu'il prenait comme disciple. Le concept était vaguement inspiré de « KUNG FU », mais la série mérite qu’on s’y attarde un instant, parce qu'elle est la seule que l’irremplaçable Lee Van Cleef – alors 59 ans – tourna en vedette.

Vieilli avant l’âge, blanchi, perclus, le ‘cattivo’ est un drôle de choix pour incarner un homme d’action dont « les mains sont des armes mortelles ». De fait, il est fréquemment (et très visiblement !) doublé pour les cascades. Il apporte malgré tout  à ce John Peter KATANA2McAllister son passé de ‘tough guy’ et son œil de rapace. À ses côtés, le jeune Timothy Van Patten joue les « petits scarabées ».

« L'HOMME AU KATANA » reçut quelques ‘guests’ connues : Claude Akins (souvent partenaire de Van Cleef au cinéma), la débutante Demi Moore, Doug ‘Trampas’ McClure, Kabir ‘Sandonkan’ Bedi, Clu Gulager, David McCallum, George Lazenby, Robert Tessier, William Smith, Stuart Whitman (avec Lee dans « CAPTAIN APACHE »), J.D. Cannon et Jock Mahoney qui accueillit souvent Van Cleef dans sa série des fifties « THE RANGE RIDER ».

Dans son ouvrage consacré à Lee Van Cleef en 1998, le pourtant très indulgent Mike Malloy ne se montre guère enthousiaste envers la série. IMDB lui alloue généreusement la note de 3.3/10 ! On imagine les bastons au ralenti, les brushings eighties, les vieux acteurs en tenues disco et on se dit qu'ils n’ont probablement pas tort.

Mais… C'est la seule série de Lee Van Cleef en vedette. Alors…

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23 juin 2010 3 23 /06 /juin /2010 01:04

4EME HOMME (2)Déjà, quand l’organisateur d’un braquage de fourgon engage trois malfrats qui ont les tronches de Jack Elam, Lee Van Cleef et Neville Brand, les trois villains les plus emblématiques des fifties, on se dit que « LE QUATRIÈME HOMME » ne peut pas être 4EME HOMMEcomplètement mauvais. De fait, le film commence comme « ULTIME RAZZIA » pour se mettre à ressembler ensuite à « KEY LARGO ».

Seul problème, si les seconds couteaux sont exceptionnels, le héros John Payne est loin de l’être. Sorte d’avatar pâlichon de Dean Martin, il traîne un œil globuleux pendant toute l’action et n’aide pas à adhérer à un scénario certes plutôt malin, mais également beaucoup trop bavard et sans réelles péripéties.

La réalisation fonctionnelle du vétéran Phil Karlson est dynamique, le noir & blanc très beau et c'est surtout un plaisir de voir cabotiner nos trois compères : Elam filmé en gros-plans peu flatteurs mais extrêmement réjouissants dans un rôle de demi-sel visqueux, allumant clope sur clope, Van Cleef affublé d’un fond de teint ultra-bronzé incarnant un bellâtre qui passe la moitié de ses scènes à prendre des baffes et Brand dans son emploi habituel de brute épaisse. Ils valent à eux seuls le déplacement.

« LE QUATRIÈME HOMME » possède tous les atouts des grands ‘films noirs’ de la période. Ne lui manque qu’une chose – mais essentielle ! – l’atmosphère.

4EME HOMME (1) 

 

À NOTER : l’organisateur du hold-up est joué par Preston Foster, dont le personnage se nomme… Foster.

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4 juin 2010 5 04 /06 /juin /2010 16:13

HOMME NERFS ACIER (1)« L'HOMME AUX NERFS D’ACIER » est un film énervant, parce qu'il n’est pas passé loin de la franche réussite. Et c'est également une bonne surprise car sa première moitié fonctionne parfaitement, grâce à un scénario bien huilé des auteurs de Leone.

Après l’évasion hélas, les choses prennent une drôle de tournure : on a droit au « quart-d’heure Rémy Julienne » avec une loooooongue poursuite sur les routes en lacet du Midi, truffée de gags à la Oury (la voiture coupée en deux). Bien sûr, on avait déjà dû subir un taulard gay sorti de « LA CAGE AUX FOLLES » à la sauce Philippe Clair et à Edwige Fenech plus ou moins dénudée dans chaque séquence où elle apparaît, mais malgré cela, le film tenait la route.

HOMME NERFS ACIER

Tourné la même année que « MON NOM EST PERSONNE », le film est curieusement bâti sur la même idée : un jeune truand frimeur mais inoffensif qui rencontre son idole de toujours, un caïd italo-américain qui va peu à peu devenir son mentor. Lee Van Cleef est parfaitement casté NERFS ACIERdans le rôle de Frankie Dio (Dieu !), le parrain mythique de retour au pays pour régler les comptes. L’œil de rapace, la calvitie poivre-et-sel, et son inséparable pipe au bec, il trouve un rôle à la mesure de ses meilleurs ‘spaghetti westerns’ et fait preuve d’une écrasante présence physique. Face à lui, Tony LoBianco qui fut le serial killer dans « LES TUEURS DE LA LUNE DE MIEL » est très bien en jeunot encombrant mais sympathique. Jean Rochefort apparaît assez peu en caïd rival, un rôle qu'il joue avec son flegme habituel, à l’extrême limite de la parodie. Généralement, ce genre de rôle destiné aux acteurs de la coproduction, revenait à Michel Constantin ou Marcel Bozzuffi. À noter une belle réussite du casting director : l’acteur italien jouant le frère de Van Cleef, qui lui ressemble de façon frappante.

Malgré cette seconde partie décevante et plombée par un humour pachydermique, « L'HOMME AUX NERFS D’ACIER » est une agréable surprise. Même si la BO lancinante de Riz Ortolani et les coups de zoom intempestifs finissent par donner un certain charme rétro à l’entreprise.

 

À NOTER : le film est récemment sorti en zone 2, dans une bonne copie en 4/3 (mais il semble que l’image soit originellement carrée) et en v.f. uniquement, ce qui n’est pas gênant vu le nombre de nationalités présentes au générique.

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5 avril 2010 1 05 /04 /avril /2010 14:09

MIDAS PALANCE LVCDans les années 80, Lee Van Cleef s’était refait une petite santé professionnelle aux U.S.A. en tournant plusieurs spots publicitaires pour Midas. Il y incarnait un garagiste habillé en pistolero, qui résolvait les problèmes mécaniques de quelques ‘guests’ comme George Kennedy, Bo Hopkins, Robert Tessier et même… Jack Palance.

Tourné en 1981, ce mini-film remettait en présence deux « gueules » des années 50 qui s’étaient déjà côtoyés dans « JICOP LE PROSCRIT » et plus récemment dans « LES IMPITOYABLES » en Italie. Dans le spot Midas, Palance joue un prédicateur exalté qui tombe en panne et risque d’arriver en retard à l’Église. Van Cleef lui répare évidemment les dégâts. « C'est un miracle ! » s’exclame Palance avec sa sobriété habituelle. « Qu'y a-t-il de si étonnant, preacher ? Ne réglez-vous pas toujours vos problèmes au sommet ? », rétorque tranquillement le ‘cattivo’. À cet instant, un coup de tonnerre résonne dans le ciel. Les deux vieux boucaniers lèvent la tête… Cut !

À voir absolument avec ce lien vers YouTube :

 

http://www.youtube.com/watch?v=6UCAhWSBjf4

 

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