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30 avril 2011 6 30 /04 /avril /2011 10:01

Écrit par Montgomery Pittman, « THE TRULY YOURS » est un épisode de la série « THE DEPUTY », dont la ‘guest star’ principale est James Coburn, qui s'apprêtait à tourner dans « LES 7 MERCENAIRES » la même année.

DEPUTY coburn2

Il joue ici ‘Coffer’, un braqueur qui fait brûler le magasin de son copain d’enfance Allen Case, le héros de la série et shérif-adjoint, pour détourner l’attention et dévaliser la banque locale. Poursuivis par son ex-ami, Coburn et ses complices l’enferment dans une mine désaffectée et prennent la fuite. Mais l’un d’eux – Anthony Caruso – a été blessé et ils demandent de l’aide à une famille de Mexicains itinérants. Notre adjoint parvient à sortir de son piège grâce à la fille aînée Miriam Colón et arrête les malfaiteurs. La vieille amitié empêche Coburn, pas si méchant que ça, de tirer sur l’adjoint.

Ce petit film de 26 minutes est cruellement fauché, les décors de studio sont d’une laideur sans pareille, la BO est digne d’une musique d’ascenseur et comme toujours, Henry Fonda n’apparaît qu’au début et à la fin de l’épisode, l’air distrait et absent. Il ne croise pas Coburn mais ce rendez-vous manqué sera (brièvement) rattrapé 17 ans plus tard le temps d’une séquence de « LA BATAILLE DE MIDWAY ».

DEPUTY coburn (1)

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1 avril 2011 5 01 /04 /avril /2011 18:29

SKY RIDERS (1)On se souvient de « LA SANCTION » de Clint Eastwood, qui n’existait que pour une seule et unique raison : filmer d’impressionnantes scènes d’alpinisme en haute-montagne, tournées en ‘live’. Eh bien, « INTERVENTION DELTA » c'est exactement la même choseSKY RIDERS et le deltaplane remplace le piolet.

Réalisé par l’anglais Doug Hickox qui dirigea John Wayne dans « BRANNIGAN » et signa son chef-d’œuvre avec l’amusant « THÉÂTRE DE SANG », ce suspense tourné en Grèce a été entièrement construit et imaginé pour mettre en valeur de belles séquences aériennes, véritables ballets périlleux entre les montagnes rocheuses.

La famille d’un business man (Robert Culp) est kidnappée par d’affreux terroristes… français ! Alors qu'il réunit la rançon, la police grecque menée par… Charles Aznavour tente de localiser les gredins. Mais un baroudeur – qui est le véritable père du fils retenu en otage – propose son aide. La famille SKY RIDERS (3)étant prisonnière dans un monastère uniquement accessible par les airs, James Coburn, car c'est de lui qu'il s’agit, enrôle une troupe d’as du deltaplane qui se trouve justement dans la région (ça tombe sacrément bien !) pour présenter un spectacle. Ne reste plus qu’à attaquer, flinguer tous les terroristes et ramener les otages. Seule vraie originalité, Coburn ne récoltera aucun laurier de son héroïsme : son fils ignore qu'il est son vrai père et son ex-femme repartira avec son riche époux. Coburn lui, héritera d’une bonne bouteille offerte par Aznavour ! La vie est dure pour les baroudeurs…

Il est facile d’ironiser sur ce scénario qui n’est qu’un mince prétexte à belles images. Hormis cette histoire abracadabrantesque et bourrée d’invraisemblances aveuglantes,SKY RIDERS (2) « INTERVENTION DELTA » vaut pour son rythme bien soutenu et pour ses scènes d’action très excellemment filmées. Coburn, impérial et décontracté retrouve John Beck qui le tuait dans « PAT GARRETT & BILLY THE KID » trois ans plus tôt, ainsi que la touchante Susannah York. On reconnaît également Steven Keats en membre du commando de voltigeurs et le cher Harry Andrews dans une séquence du début, en capitaine d’un rafiot faisant du trafic avec notre héros.

Ah ! Et n’oublions pas de mentionner un des gros atouts du film : une BO pulsante et omniprésente de Lalo Schifrin en grande forme.

 

À NOTER : le film est récemment sorti en Espagne sous le titre « EL ASALTO DES LOS HOMBRES PÁJARO », dans une copie magnifique, mais pas sous-titrée.

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27 novembre 2010 6 27 /11 /novembre /2010 16:23

Dans le prologue, l’entraîneuse du saloon d’une ville-champignon se voit confier un bébé dont les parents viennent de mourir. Huit ans après, l’endroit est devenu une ville-fantôme et Millie (Nancy Gates) a élevé l’enfant comme sa propre fille. C'est alors que surgit la grand-mère, qui demande à récupérer sa descendance. Bien sûr, le héros de la série (Robert Horton) est mêlé à l’affaire.

WAGON TRAIN Coburn

« THE MILLIE DAVIS STORY » est un épisode de la 2ème saison de « LA GRANDE CARAVANE » dans lequel Ward Bond n’apparaît pas du tout. Mi-comédie, mi-mélo, le film garde cet aspect western de série B qui le différencie des habituelles séries de l’époque. Les décors sont biens rendus, la mise est en scène relativement aérée et le scénario bien bâti.

L’épisode réalisé par le bon faiseur Jerry Hooper ne présente pas d’intérêt particulier, hormis la présence du presque débutant James Coburn, bon dernier au générique. Pas encore trentenaire, l’acteur incarne un braqueur de diligences sardonique et méchant comme une teigne, qu’on voit dans deux ou trois séquences. Et dans l’une d'elles, il a le visage masqué par un foulard ! D'ailleurs, pourquoi en porte-t-il, puisqu’il est déjà recherché par toutes les polices et ne craint pas ensuite de se montrer à visage découvert ? Ne cherchons pas…

Également au générique, Whit Bissell, figure familière des fifties qui figurera lui aussi au générique des « 7 MERCENAIRES » deux ans plus tard. 

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11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 16:04

FACE FUGITIVE (1)« FACE OF A FUGITIVE » est le premier film du célèbre musicien Jerry Goldsmith (encore prénommé ‘Jerrald’ au générique), le second de James Coburn ainsi que du réalisateur et futur téléaste Paul Wendkos. Ces précisions historiques mises à part, il s’agit d’une petite production de série B particulièrement fauchée, au scénario linéaire contant la rédemption d’un hors-la-loi.

Fred MacMurray, avec sa tête de bon père de famille yankee n’a pas grand-chose d’un FACE FUGITIVEpistolero, mais il campe avec un sérieux inébranlable un personnage inspiré de Jean Valjean. Un braqueur de banques recherché qui devient un type bien sous une fausse identité. Le suspense est quelque peu tiré par les cheveux : notre héros FACE FUGITIVE (2)traîne inexplicablement en ville, attendant le train qui transporte les affiches « wanted » sur lesquelles figure son portrait ! Attiré par une jolie veuve, touché par le jeune shérif qui lui rappelle son frère tué au début du film, MacMurray va mettre sa liberté puis sa vie en danger pour ces parfaits étrangers. Admettons...

Assez piètrement réalisé, « FACE OF A FUGITIVE » se laisse tout de même regarder d’un œil distrait et indulgent. Il contient même quelques jolies idées visuelles, comme ce plan où le héros tire sur des fils barbelés qui s’enroulent autour du ‘bad guy’ Coburn tels des serpents hérissés de pics, ou encore ce duel à plusieurs dans la ville-fantôme à la fin, très bien mis en espace.

Longiligne et ricanant, le jeune ‘Jimmy’ Coburn apparaît peu en homme de main arrogant, arborant un seyant gilet de cuir. Il n’a qu’un seul et unique gros-plan, mais déjà une sacrée « gueule » !

FACE FUGITIVE (3)

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31 août 2010 2 31 /08 /août /2010 11:03

AMERICAN GUNLe cast, le titre « AMERICAN GUN » font aussitôt penser à une série B sortie directement en vidéo, mais nous en sommes loin ! Dans la lignée de l'excellent « IN THE BEDROOM », c’est un film indépendant, puissamment ancré dans une réalité sociale et militant de façon subtile contre les armes à feu. La force du scénario – sans ‘spoiler’ la chute absolument dévastatrice – est de laisser croire à une bête histoire de vengeance, pour subitement changer de cap et s'achever dans une apothéose d'émotion qui « cueille » à froid et laisse le spectateur plongé dans des abimes de réflexion.

Le budget minuscule se fait cruellement sentir, surtout dans les flash-backs situés en 39-45 (seul vrai point faible du film) ou dans la séquence tournée à Las Vegas, mais le problème n'est pas là. Centré sur James Coburn qui trouve là un magnifique dernier rôle, « AMERICAN GUN » décortique sans pitié son visage ridé, crevassé, multiplie les gros-plans sur ses mains déformées par l'arthrose, le défait totalement de son image d'homme d'action et de ‘légende’, pour laisser place au comédien. Coburn n'a que peu joué de rôles de cet acabit, hormis l'infirmier psy de « MR. PATMAN » ou le père de « AFFLICTION ». En voyant le présent film, on le regrette d'autant plus que son registre était réellement impressionnant. Son couple avec une Barbara Bain (la Cinnamon de « MISSION : IMPOSSIBLE ») à peine reconnaissable, est une franche réussite. Et Virginia Madsen apparaît peu, mais parvient à donner de l'épaisseur à son personnage de fille paumée.

AMERICAN GUN (1)

Il y avait tous les éléments pour suivre les traces de films comme l’intéressant « HARDCORE » de Paul Schrader, ou encore plus facilement la série des « DEATH WISH ». Mais la façon qu'a eue l'auteur de tordre ces clichés, de mettre le public face à ses réactions et préjugés, est extraordinairement intelligente. Avec un peu plus de moyens, cela aurait pu être un grand film. C'en est déjà un très bon et on n'est pas près d'oublier l'ultime plan de Coburn et son terrible regard face caméra, qui rappelle celui de son ancien collègue des « 7 MERCENAIRES », Charles Bronson dans son dernier plan de « INDIAN RUNNER ». Troublant d'ailleurs que ces deux comédiens de la même génération qui ont connu des carrières assez parallèles et se sont faits un nom dans un cinéma d'action, finissent leurs parcours dans des œuvres aussi atypiques dans leur filmo et des plans aussi similaires...

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13 juillet 2010 2 13 /07 /juillet /2010 17:46

FOLLE MISSION... (1)Formidable point de départ pour une satire politico-policière : un psy est chargé de gérer les états d'âme du président des U.S.A. Quand il veut abandonner, il devient la proie de laFOLLE MISSION... (2) terre entière. Le FBI, la CIA (renommés FBR et CEA !), les Russes, les Chinois, les PTT. Tout le monde !

« LA FOLLE MISSION DU DR. SCHAEFER » est si profondément ancrée dans les sixties, qu’on dirait une reconstitution type « AUSTIN POWERS » : la déco affreuse, les coups de zoom, les costumes, les hippies, la BO de Lalo Schifrin, c'est bien simple, rien ne manque. C'est ce qui fait aujourd'hui le charme du film est aussi la déception qu'il engendre rapidement. Car le FOLLE MISSION... (3)sujet s’effrite à grande vitesse, pour partir en quenouilles au bout d’une demi-heure. On se croirait d’abord dans un épisode des « AGENTS TRÈS SPÉCIAUX » puis hélas, dans un « BATMAN » avec Adam West ! Et les digressions du scénario (la communauté de musicos hippies, les problèmes freudiens de l’espion russe) deviennent vite insupportables.

Reste James Coburn, juste après sa période ‘Flint’, d’une décontraction impériale, qui traverse ce capharnaüm bariolé de sa démarche de danseur, souriant de toutes ses grandes dents, et n’hésitant jamais à en faire trop. Il a souvent été meilleur, certes, mais heureusement qu'il est là !

 FOLLE MISSION...À noter tout de même que lorsque l’Ennemi est enfin révélé, éclipsant tous les espions du monde, et qu’on découvre qu'il s’agit de la compagnie des téléphones, on se dit que le scénariste (très certainement parano !) était visionnaire : le but de ces « savants fous » est d’implanter des téléphones miniaturisés directement dans le cerveau des habitants du globe et ainsi tout contrôler. C'était peut-être rigolo et farfelu à l’époque, mais bizarrement 40 ans plus tard, on rit moins… Un petit remake, quelqu’un ?

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3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 17:14

ARME AU POING (1)Le scénario tient sur un ticket de métro. Usagé, le ticket. Et dès la première séquence, on comprend parfaitement le but de l’entreprise : se payer de belles vacances sous les cocotiers, en compagnie de stars bien bronzées. De fait, on voit du pays, on visite même les hôtels où l’équipe de tournage a dû séjourner, quelques plages de rêve. « L’ARME AU POING » a tout d’une escroquerie sympathique, et on est content que Michael Winner ait si bien profité de la vie.

Pour ce qui est du film lui-même, c'est un catalogue de niaiseries, un mix de mafia, de trafic de médicaments, de film noir. On dirait un très long et très ennuyeux épisode de la série « MISSION : IMPOSSIBLE ».

En mercenaire hyper-pro, James Coburn a une belle gueule et fait son possible pour donner de la densité à cette histoire intangible. Winner lui a même accolé un sosie totalement absurde pour assurer ses arrières ! Un gimmick dont il se resservira dans « BULLSEYE ! ».
ARME AU POING
Sophia Loren est vraiment très belle, mais mal castée en traîtresse rapace. Parmi les seconds rôles, on retrouve avec plaisir Eli Wallach en mafioso aimable, flanqué de son garde du corps joué par Jake LaMotta le vrai « raging bull » et dans la dernière séquence, un Victor Mature permanenté, qui apparaît exactement dix secondes en milliardaire dragueur.

Du cinéma touristique, torché à la va-vite, à voir comme une sorte de reportage sur les « beautiful people ».

 

À NOTER : le film fut d’abord annoncé avec Charles Bronson dans le rôle de Fannon. Il se retira du projet prétextant des problèmes oculaires, mais le bruit court qu'il ne s’entendait pas avec Sophia Loren qui ne voulait pas tourner avec lui… Les mémoires de Winner restent assez vagues sur le sujet. Il suggère que Bronson refusait de tourner avec une vedette féminine aussi importante, par insécurité. Quoiqu’il en soit, il n’a rien perdu.

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7 novembre 2009 6 07 /11 /novembre /2009 17:45

On peut comprendre que le succès inespéré de « CAT BALLOU » sorti deux ans plus tôt, ait donné envie aux petits camarades de ramasser les miettes. Mais écrire et tourner un western burlesque commenté de bout en bout par une chanson racontant les dessous de l’histoire, n’est pas à la portée du premier venu. Pas à celle de William Graham en tout cas !

« L’OR DES PISTOLEROS », étonnamment soigné sur le plan visuel, est d’un ennui abyssal, d’une drôlerie très relative et se contente d’aligner péripéties et courses-poursuites, comme dans un très long cartoon de Will E. Coyote. Les producteurs espèrent tellement rameuter le public de « CAT BALLOU », qu'ils ont tout fait pour que Maggie Blye ressemble comme deux gouttes d’eau à Jane Fonda dans le film d’Elliott Silverstein. Mais rien n’y fait… L’original n’était déjà pas un chef-d’œuvre, mais la copie est d’une faiblesse quasi-totale et Le charme canaille de James Coburn, très à son avantage, n’y peut pas grand-chose. Élégant, souriant, imprévisible, il tient son rôle de façon distanciée avec sa démarche de danseur et son sourire communicatif.

Quelques seconds rôles comme Timothy Carey (qui bêle comme un bélier !), Bruce Dern en shérif-adjoint demeuré ou Claude Akins et James Whitmore, ne font pas passer la pilule. Car en plus d’être idiot, « L’OR DES PISTOLEROS » trimballe un drôle de message sur les rapports homme-femme : violée dans une grange par un hors-la-loi chaud-lapin (Coburn), la jeune vierge Maggie Blye toute énamourée, ne rêve que de se faire épouser par lui.


« L’OR DES PISTOLEROS » n’est qu’un produit opportuniste qui confond énergie et agitation, et vaut à la rigueur (à l’extrême rigueur !) pour de magnifiques couchers de soleil.

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26 octobre 2009 1 26 /10 /octobre /2009 20:08

« THE DARK GATE » est un des trois épisodes de « BONANZA », auquel participa James Coburn, probablement grâce à son amitié avec Pernell Roberts, dont il fut le co-équipier dans « LA CHEVAUCHÉE DE LA VENGEANCE », à ses débuts.

Le rôle que tient ici le futur Pat Garrett, est des plus sombres : le film s’ouvre sur un passage à tabac en règle qu'il fait subir à sa femme (scène particulièrement brutale, pour l’époque et surtout pour la TV), afin de lui faire avouer qu'elle le trompe. Ensuite, il tente de tuer son meilleur ami, et se met à organiser des attaques de diligence avec des hors-la-loi, qu'il n’hésite pas à trahir.
Pour finir, il bat sa femme à mort. L’intérêt du personnage, est que dix mois plus tôt, c'était apparemment un type formidable, et que personne n’arrive à croire qu'il soit devenu le monstre actuel. Lors d’une visite chez le médecin, Roberts et celui-ci parlent – à mots couverts – de la « porte sombre » que Coburn a passée. Ils regrettent ensemble qu’aucun soin n’existe encore, pour guérir cette démence. En bref, ils espèrent impatiemment l’invention de la psychothérapie !

On ne saura jamais de quoi souffrait exactement l’odieux Ross : paranoïa aiguë ? Tumeur au cerveau ? Maladie dégénérative ? Roberts sera obligé de l’abattre sans avoir de réponse. James Coburn a d'ailleurs à cette occasion, une très belle scène d’agonie, où couché dans la rocaille, il redevient lui-même, se demandant ce qu'il fait là, et pourquoi il a mal…

« THE DARK GATE » est un bon épisode de « BONANZA », une série qui dépendait souvent de la qualité de ses « guests », et on y remarque également Harry Dean Stanton, dans un tout petit rôle de hors-la-loi imbécile.

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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 20:47

Les films sur le rodéo n’ont curieusement jamais eu les faveurs du public, même américain, comme en témoignent les échecs de « ARENA » de Richard Fleischer ou « JUNIOR BONNER » de Sam Peckinpah.


En 1972, l’acteur-réalisateur Steve Inhat a tourné « THE HONKERS » (« LES CENTAURES » en v.f.), une petite production intimiste, se passant dans le milieu du rodéo, et suivant la fin de carrière d’un ex-champion incarné par James Coburn, alors au sommet de la sienne. En clown de rodéo cardiaque, Slim Pickens tenait un de ses meilleurs rôles, et on y voyait également Lois Netlleton, Anne Archer, Mitchell Ryan et Richard Anderson.

Le film jamais ressorti depuis plusieurs décennies, est complètement invisible aujourd'hui, et mériterait certainement un petit coup d’œil curieux.
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