ERNEST BORGNINE : R.I.P.

Il fallait bien que ça arrive un jour… Et 95 ans, c'est un bel âge, surtout quand on a profité de la vie comme lui. Mais tout de même, depuis le temps, à force, on avait fini par le croire immortel Ernest Borgnine.

Depuis ses rôles de ‘bad guys’ à son Oscar pour « MARTY » où il jouait un vieux garçon solitaire, jusqu'à « LA HORDE SAUVAGE » et tant d’autres classiques, Borgnine a occupé le terrain pendant presque 60 ans.

On pensera toujours à lui avec tendresse et aussi avec un sourire aux lèvres. Ce même sourire glouton aux dents de devant écartées qui fut sa signature. Espérons que ses quelques contemporains survivants comme Kirk Douglas ou Eli Wallach prennent bien soin d’eux ! R.I.P.

Comments

[Dino Barran]

Cher Fred, un petit mot sur Richard Zanuck ?
A cette occasion la presse spécialisée a évoqué deux films qu'il a produit à ses débuts et dont je n'avais jamais entendu parler : COMPULSION et SANCTUARY. Les as-tu déjà chroniqués ?

[Fred Jay Walk]

A priori je n'inclus pas les producteurs dans les annivs ou les RIP, à tort ou raison. Même si ce Zanuck-là nous a quand même donné "JAWS".


 


Je n'ai pas chroniqué "LE GENIE DU MAL" un excellent Fleischer sur un couple d'étudiants gays devenus assassins, ni "LE SANCTUAIRE" (que je n'ai jamais vu) d'après Faulkner avec Lee Remick et Yves Montand. Je le verrais bien, celui-là !

[Kinskiklaus]

Tristesse, mais je suis heureux malgré tout d'avoir respiré le même air que cette légende du cinéma, car il s'agissait bien pour ma part d'une des dernières légendes vivantes du cinéma. Un pan
entier du bonheur flottant dans les salles obscures s'en est allée. A noter, hormis sur ton sublime blog, cher Fred, de nombreux témoignages d'internautes honorent la mémoire de ce grand acteur sur
la toile.

[Fred Jay Walk]

Oui, un vrai traitement de star.

[lemmy]

Son éternel sourire de good guy ou de bad guy illuminera encore et encore nos mirettes. Une carrière immense sans équivalent.

[VAL]

:-(

Good bye, Ernie...