La carrière de James Coburn regorge de « moments » chers à « WWW ». Mais il en est un tout particulièrement qui vient en mémoire dès qu’on pense à lui.
Dans « IL ÉTAIT UNE FOIS… LA RÉVOLUTION », alors que le ‘peone’ Rod Steiger vient de crever le pneu de sa moto d’une balle bien sentie, James/Sean quelque peu agacé, mais tout à fait impassible, se rend dans la caravane dérobée par le Mexicain. Il semble prier et même allumer un cierge. Il fait sortir les moutards endormis à l’intérieur. Tout cela sans un mot.
Quand il repasse devant Steiger, il lui adresse un grand sourire coburnien et dit : « Planque-toi, connard ». Juste avant que la caravane – qu'il vient de piéger – n’explose dans une gerbe de feu.
Vive James !