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L’Italien Antonio Margheriti (également connu sous le pseudo d’Anthony M. Dawson) avait dirigé Klaus Kinski dans un de ses meilleurs ‘spaghetti westerns’ « ET LE VENT APPORTA LA VIOLENCE » et tourné deux fois avec Lee Van Cleef dans « LA BRUTE, LE COLT ET LE
KARATÉ » et « LA CHEVAUCHÉE TERRIBLE ».
En 1984, il réunit les anciens ennemis de « …ET POUR QUELQUES DOLLARS DE PLUS » pour un ersatz multinational des « OIES SAUVAGES » d’Andrew V. McLaglen, judicieusement intitulé « NOM DE CODE : OIES SAUVAGES ».
Les vétérans vieillissants jouent deux des mercenaires engagés par un business man U.S. (Ernest Borgnine) pour combattre un cartel de la drogue en Birmanie. Leur leader est joué par l’Anglais Lewis Collins connu pour sa série TV « LE PROFESSIONNEL » et on retrouve une autre figure emblématique des sixties, la blonde héroïne de « MORE », Mimsy Farmer.
L’équipe technique est italo-allemande, la BO est signée Ennio Morricone, et le film d’une durée de 101 minutes est exploité en vidéo dans diverses régions du globe dans des remontages allant de 96 à 84 minutes.
Nul ne s’attend à voir un chef-d’œuvre en péril, mais ne serait-ce que pour revoir côte à côte le « colonel » et Wild le bossu, vingt ans après leur première et mythique rencontre, on aimerait bien que soit réédité « NOM DE CODE : OIES SAUVAGES » en version intégrale.