News, photos, critiques films et DVD, avis et commentaires sur le cinéma populaire, ses stars, ses mythes, mais aussi sur les séries TV et quelques à-côtés.
Dans le civil, Charles Bronson parlait beaucoup d’argent et était notoirement « près de ses sous ». Il insistait dans ses interviews pour préciser qu'il ne faisait ce métier que pour les dollars…
Dans ses films, les billets verts avaient également leur importance. Si la photo du haut, tirée de « 4 DU TEXAS » est des plus parlantes, on l’a souvent vu manipuler de l’argent à l’écran. Dans « ADIEU L’AMI » il a toujours du cash sur lui, dans « IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L’OUEST » il pique un dollar à Frank pour payer son whisky, dans « LE PASSAGER DE LA PLUIE » il fait croire à ‘Mellie’ qu'il est maître-chanteur et fait mine de prendre ses économies, dans « DE LA PART DES COPAINS » il gagne des francs au poker et fourre les billets dans le corsage de Liv Ullmann, dans « SOLEIL ROUGE » il déplace des sacs d’or, dans « COSA NOSTRA » il compte la recette de la journée de son restaurant. C'est dans « LE BAGARREUR » que « la thune » a le plus d’importance. Parce qu'elle est durement gagnée à coups de poings, Bronson passe beaucoup de temps à recompter ses gains.
Notre « money moment » préféré vient de « MONSIEUR SAINT-IVES » : pour faire parler un employé d’hôtel, Bronson sort son portefeuille et tripote ses billets. Quand l’autre l’a renseigné, Bronson rempoche le « larfeuille » sans avoir déboursé un cent ! Fidèle à sa légende, en somme…