Après l’immense retentissement populaire rencontré par nos précédentes explorations des vices et addictions de notre mascotte Charles Bronson, « WWW » se penche aujourd'hui sur ses problèmes de boisson.
Dans la vie, on le sait, Charley Bronson était un obsédé de la forme physique et de l’hygiène. S’il fumait plus que de raison, il ne s’octroyait que quelques bières de temps en temps. Sobre comme un chameau ! On se souvient qu'il avait voulu casser la figure à Lee Marvin parce qu'il arrivait systématiquement ivre-mort sur le plateau des « 12 SALOPARDS » et qu'il refusa de tourner avec Sam Peckinpah sur « THE INSURANCE COMPANY » en décrétant qu'il ne voulait pas « travailler avec un soûlard ». Au moins, c'est clair !
À l’écran par contre, on l’a souvent vu un verre de whisky ou autre à la main et il a même joué plusieurs ivrognes : les soldats dans « LA PROIE DES VAUTOURS » et « TONNERRE APACHE », le fermier dans « LE SOLITAIRE DE L’OUEST », l’ouvrier dans « LA GRANDE VALLÉE » à la TV. Son tueur à gages dans « LE FLINGUEUR » avait un faible – qui le perdra – pour le vin napolitain.
Dans l’épisode des « INCORRUPTIBLES » où il apparaît, Charley trafique de whisky pour Al Capone. Dans « IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L’OUEST », il vide d’un trait un verre, qu'il paie avec le dollar que lui offrait Henry Fonda. Son flic de « LA LOI DE MURPHY » a un gros problème de boisson et se réveille dès le générique-début avec une gueule de bois carabinée. Dans le téléfilm « YES VIRGINIA, THERE IS A SANTA CLAUS », il boit pour oublier la mort de sa femme.